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vendredi 22 mars 2013

Un grand bravo à Jean-Marc Simonet pour avoir numérisé les Principia de Isaac Newton ! La révolution néonewtoniste matérialiste est en marche !!! (et une pensée affectueuse pour Gabrielle-Emilie citoyenne Chatelet et pour Voltaire)

Isaac Newton, Principes mathématiques de la philosophie naturelle. Titre original: Philosophiae Naturalis Principia Mathematica. Londres, 1687. Par feue Madame la marquise du Chastellet. Paris: Dessaint & Saillant et Lambert, Imprimeurs, 1759. Deux tomes de 437 pp et 379 pp.



Tome I. Livre I; Livre II. 437 pp. Une édition numérique réalisée par Jean-Marc Simonet, professeur retraité de l'enseignement, Université de Paris XI-Orsay, bénévole.
Livre téléchargeable !



Tome II. Livre III. Commentaire des Principes mathématiques de la philosophie de M. Newton. 379 pp. Une édition numérique réalisée par Jean-Marc Simonet, professeur retraité de l'enseignement, Université de Paris XI-Orsay, bénévole. Livre téléchargeable !
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 Isaac Newton Mathématicien, Physicien, Philosophe anglais (1643-1727) Principes mathématiques de la Philosophie naturelle
(Philosophiae Naturalis Principia Mathematica) Par feue Madame la Marquise du Chastellet Paris, 1759
Livre Premier. Du mouvement du corps Sections I à VI. Un document produit en version numérique par Jean-Marc Simonet, bénévole, Courriel : Jean-Marc_Simonet@uqac.ca Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web : http://classiques.uqac.ca/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi Site web : http://bibliotheque.uqac.ca/
Philosophiae Naturalis Principia Mathematica (latin pour Principes mathématiques de la philosophie naturelle), souvent abrégé en Principia ou Principia Mathematica, est l'œuvre maîtresse d'Isaac Newton. Cet ouvrage en latin, divisé en trois parties (ou livres, du latin liber), est publié à Londres en 1687. La page de titre signale qu'il a reçu son imprimatur le 5 juillet de l'année précédente par le président de la Royal Society, Samuel Pepys1.
C'est la troisième édition latine, de 1726, dont le texte aura été révisé et enrichi une dernière fois par Newton, qui est généralement considérée comme de référence2.

C'est un des plus importants livres scientifiques jamais édités. La traduction française fut publiée à Paris en 1756, sous le titre Principes mathématiques de la philosophie naturelle ; elle est l'œuvre d'Émilie du Châtelet.
Cet ouvrage, qui veut appliquer « les lois mathématiques à l'étude des phénomènes naturels » (Ferd. Hoefer), contient les lois du mouvement de Newton qui formèrent le fondement de la mécanique classique ainsi que la loi de l'attraction universelle.
À partir de ces lois, Newton a déduit aussi les lois de Kepler du mouvement des planètes qui avaient été obtenues empiriquement par Kepler. De nombreuses autres choses y sont aussi exposées : les lois des chocs, le mouvement des fluides, la théorie des marées, etc.
En formulant ces théories physiques, Newton développa le calcul infinitésimal, un domaine des mathématiques. Néanmoins, le langage du calcul infinitésimal est largement absent des Principia car Newton y avait reformulé la majorité de ses démonstrations en arguments géométriques, le langage courant de la physique à cette époque.
Dans son édition originale en latin (Londres, 1687), l'œuvre s'ouvre par une préface au lecteur (Praefatio ad lectorem) et un hommage à l'auteur par Edmond Halley (In viri praestantissimi D. Isaaci Newtoni opus hocce mathematico-physicum saeculi gentisque nostrae decus egregium).
Le traité lui-même commence par des définitions (Philosophiae naturalis principa mathematica : definitiones, p. 1-11) et des lois ou axiomes (Axiomata sive leges motus, p. 12-25). Suivent trois parties (ou « livres ») sur le « mouvement des corps » et le « système monde » :
  1. De motu corporum : liber primus (Sur le mouvement des corps : livre premier), p. 26-235
  2. De motu corporum : liber secundus (Sur le mouvement des corps : livre second), p. 236-400
  3. De mundi systemate : liber tertius (Sur le système du monde : livre troisième), p. 401-510.
Le tout forme un volume in-quarto de 510 pages.

Émilie du Châtelet


Émilie du Châtelet
Description de cette image, également commentée ci-après
Gabrielle Émilie Le Tonnelier de Breteuil.
Naissance 17 décembre 1706
Paris (France)
Décès 10 septembre 1749
Lunéville (Lorraine)
Nationalité Royaume de France Royaume de France
Champs Mathématiques et physique
Renommée pour Institutions de Physique
Discours sur le bonheur
Traduction en français des Principia de Newton
Gabrielle Émilie Le Tonnelier de Breteuil, marquise du Châtelet, communément appelée Émilie du Châtelet, née à Paris le 17 décembre 1706 et morte à Lunéville le 10 septembre 1749, est une mathématicienne et physicienne française. Elle est aussi restée célèbre pour être l'auteur de la traduction française des Principia Mathematica de Newton qui fait toujours autorité aujourd'hui, et également pour avoir été la maîtresse de Voltaire.

Sommaire

Biographie

Fille de Louis Nicolas Le Tonnelier, baron de Breteuil, introducteur des Ambassadeurs de Louis XIV, Émilie a la chance de vivre dans un milieu ouvert ; ses parents recevaient en effet le poète Jean-Baptiste Rousseau et Fontenelle dans leur salon parisien et elle connut ceux-ci dès l’enfance. Elle doit à son père une éducation qui n'est alors que rarement dispensée aux filles. Lui-même lui enseigne le latin et, douée pour les études, elle apprend également le grec et l’allemand. Douée aussi pour la musique, elle apprend à jouer du clavecin. Aimant la danse et le théâtre, qu’elle pratique en amateur, elle aime aussi chanter l’opéra.

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