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mercredi 19 mars 2014

L'Havrais Vérité; Philippe Carrière Directeur du Réseau OMERTA76 de protection des agresseuses d'enfants dans les écoles fait régner la terreur parmi les témoins

un article L'Havrais Vérité par Yanick Toutain

Philippe Carrière et Monique Béaur organisent le harcèlement et la terreur parmi les témoins d'agressions d'enfants commises par des enseignantes dans les écoles : Julie Amadis sanctionnée AVERTISSEMENT + INSPECTION MENSONGERE = 3/20
Sa "faute" selon le directeur d'OMERTA76 ?
Philippe Carrière reproche à Julie Amadis d'avoir écrit directement à la rectrice Claude Schmidt-Lainé..... pour se plaindre du harcelement qui recommence par Patrick Deplanque, celui qui avait étouffé le scandale de 2008.

un article par Yanick Toutain

Pour Philippe Carrière directeur OMERTA76,
TEMOIN QUI PARLE = COUPABLE

En Seinte-Maritime (mais comment est-ce dans les autres départements française ? ) il ne fait pas bon se trouver par hasard au moment où une enseignante cogne un enfant : vous allez prendre le risque de vous retrouver au chomage.
Si vous parlez.
C'est ce qui est arrivé à Julie Amadis en 2008. Elle a dénoncé deux cas de violences.
Et donc direction les ASSEDIC !

SE TAIRE = PLAIRE AUX INSPECTEURS
SE TAIRE = RESPECTER LE "REGLEMENT"
SE TAIRE = CONSERVER SON EMPLOI
SE TAIRE = OMERTA76 VOUS LAISSE TRANQUILLE

Car votre silence vous permettra de rester fonctionnaire tranquille. Ou employée municipale de Antoine Rufenacht et Agnès Canayer.
Ces deux-là ont laissé en poste celle qui avait tapé le petit Kévin 3 ans en janvier 2008.
Le directeur du réseau OMERTA 76, Philippe Carrière a un sentiment d'impunité absolument ahurissant !

INSPECTEUR JEKYLL ET M. DEPLANQUE : MENTEUR ET HARCELEUR AU SERVICE DU RESEAU OMERTA 76

Il nomme dans le secteur Havre Ouest un certain Patrick Deplanque ; un docteur Jekyll et M. Hyde de l'éducation Nationale : fabriquant de marionnettes la nuit et protecteur des enseignantes agresseuses d'enfants le jour. C'est ce menteur harceleur qui avait organisé l'OMERTA76 à l'école Varlin en 2008. Il avait été envoyé se faire oublier en Russie après son exploit. LEs deux agresseuses de Kévin et Luciano (3 ans et 4 ans) sont restées en poste, ensemble, pendant 6 ans !)
On a beau tenter de leur faire comprendre que leur seule solution est la contrition et d'avouer leurs mensonges, ils persistent dans le déni.

Ils veulent pas qu'on dise leur nom Patrick Deplanque, Deplanque Patrick Fessée à trois ans, comme des coups de trique Inspecteur aveugle, aveugle cynique ! Ils veulent pas qu'on dise leur nom Académie et rectorat Quand ça arrivera, ça arrivera On dira enfin : "Ca ira ! ça ira !" (La Brute Soutient La Brute une chanson 2008 par Yanick Toutain)
C'est cet inspecteur OMERTA76 qui est revenu harceler Julie Amadis 6 ans plus tard :

UNE INSTITUTRICE RÉPRIMÉE PARCE QU'ELLE A TÉMOIGNÉ DE VIOLENCES A ENFANTS COMMISES PAR DES ENSEIGNANTES (tract à imprimer et à distribuer)


LES TECHNIQUES DE PHILIPPE CARRIÈRE
 OMERTA76  POUR FAIRE TAIRE LES 
TÉMOINS

Mais ce n'est pas fini. Carrière, le directeur OMERTA 76 a d'autres cordes à son arc. Pour terroriser les témoins.
Il envoit donc un menteur inspecter Julie Amadis.
Celle-ci refuse cette inspection en présence de ses élèves. (c'est légal depuis 1983) . Elle va donc subir une inspection administrative (c'est légal aussi)
L'inspecteur Basély (c'est TOTALEMENT ILLEGAL) va rédiger un rapport TRUFFE DE MENSONGES. Il va écrire le contraire des propos du directeur de l'école Valmy - qui "ne disait que du bien de toi".
jeudi 13 mars 2014

En mission commandée au Havre pour protéger les enseignants agresseurs d'enfants, l'IEN Olivier Basely de Saint Valéry-en-Caux commet des faux en écritures, ment, truque les déclarations. Une inspection mensongère contre Julie Amadis. En service commandé pour le réseau OMERTA.

par Yanick Toutain
L'IEN Olivier Basely a rédigé un rapport truffé de mensonges et de faux contre Julie Amadis.


En oubliant que ses empreintes digitales se trouvent sur les fiches de préparation qu'il prétend ne pas avoir vues !
En oubliant que des témoins ont vu travaux artistiques des élèves qu'il prétend ne pas avoir vus.
En oubliant que le directeur de l'école Valmy allait dire « Je n'ai jamais dit ça » à la lecture des mensonges de l'IEN Olivier Basely qui prétendait rapporter ses propos.
En oubliant que tous ses mensonges seraient contredits par la vérification de ses dires par des témoins honnêtes.
En oubliant que sa victime, Julie Amadis, n'allait pas laisser son honneur être bafoué par un menteur totalement dépourvu d'honneur.
Le but des ces mensonges et faux en écritures commis par l'inspecteur de Saint Valéry en Caux venu à l'école Valmy inspecter Julie Amadis ?
Faire taire et écraser professionnellement celle qui avait dénoncé l'agression contre le petit Kévin 3 ans en 2008, Faire taire et écraser professionnellement celle qui avait dénoncé la vantardise de la directrice Véronique Combret de, elle aussi, taper un autre enfant – Luciano 4 ans..... une directrice qui avait précisé qu'elle faisait cela sans éprouver de sentiment de culpabilité.
Le but ?
Protéger le harceleur Patrick Deplanque, I.E.N Havre Ouest, protecteur des deux agresseuses d'enfants en 2008. (La directrice Combret et son ATSEM)
Le but ?
Laisser ce harceleur poursuivre, en 2014, son travail d'omerta et de menaces contre Julie Amadis.


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lundi 17 mars 2014


L'ex-maire du Havre Antoine Rufenacht a protégé 2 agresseuses d'enfants pendant 6 ans ! Son complice Patrick Deplanque (inspecteur Education Nationale) lance de nouvelles menaces soutenu par le réseau OMERTA Monique Béaur de Rouen


"Monsieur le maire {Antoine Rufenacht},
 pouvons nous faire front commun sur 
UNE chose :
 
on ne tape pas sur les petits de trois ans."
Il fut aimable, à l'écoute, attentif.


(..)

Il écouta.

Certes, il finit par donner raison à José Laboureur : 
ce ne fut pas surprenant, le ministre Darcos en a fait tout autant.

Mais tout en lui affirmant, que pour ma part j'avais soutenu
 le fils du gendarme et son père, pour éviter une polémique inutile,
 je lui ai rappelé qu'il s'agissait dans ce cas de petits de trois et quatre ans.

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