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mardi 24 juin 2014

Thomas Burelli, le "monsieur Jourdain" du postmarxisme met en lumière le pillage impérialiste du stock des Innovations ancestrales par la strate des Parasites au détriment des héritiers des Innovants de Terre du Sud

par Yanick Toutain


08/01/2014, 14:01:28,


Préambule de ce texte inachevé


Thomas Burelli est un chercheur. Il est un « monsieur Jourdain » du postmarxisme. Il utilise des concepts sans que ceux-ci ne soient étiqueté du métalangage de la science postmarxiste.
Ce que Thomas Burelli, doctorant au Canada met en lumière - quant à la Nouvelle-Calédonie et aux prétendus « chercheurs » mais vrais espions pillards qui viennent y commettre leurs forfaits - est un exemple parfait de l'actualité de la lutte des strates, du vol permanent commis par les Parasites et les pseudo-Innovants au service des classes spoliatrices.

LA RECHERCHE EN « ETHNOLOGIE JURIDIQUE » DEVRAIT SE PLACER SOUS LE CADRE CONCEPTUEL GLOBAL DU POSTMARXISME

Thomas Burelli place sous les projecteurs de la recherche en « ethnologie juridique » le scandaleux pillage opéré par des espions venus de l'Université française. Des espions qui viennent hypocritement s'infiltrer parmi les Kanaks afin d'y interroger les Anciens sur le contenu du stock des Innovations ancestrales de Kanaki. Il nous montre ensuite ces espions travailler à construire un édifice juridique de voyous mafieux auprès d'organismes étatiques et para-étatiques – déposer des « brevets » - en « oubliant » naturellement de citer les véritables découvreurs-inventeurs de ces thérapies.
Je vais donc poursuivre cette mise en lumière des Découvertes postmarxistes de Thomas Burelli. Mais le faire en m'adressant directement à lui – le lecteur pourra lire infra son texte du jour paru dans le journal Le Monde. Afin que le lecteur comprenne en même temps que lui quelle modernité constructive est sa découverte.



Cher cousin, bravo.
En vous lisant ce matin, je souriais du nombre de concepts postmarxistes dont vous êtes proche ou même qui vous servent déjà d'outils conceptuels sans que vous ne le sembliez le conscientiser.
Il semble néanmoins que le principal outil, le principal concept vous soit inconnu. C'est votre trop grande gentillesses verbale à l'égard des voleurs qui l'indique.
Je vais donc commencer par cela.

LE FEU, LES MOTS, L'AGRICULTURE, LES NOMBRES

Ce sont 4 choses qui forment plus de 80% de la productivité ancestrale.
Ces 4 découvertes-inventions sont le principal du bagage de l'humanité. A tel point qu'être un humain consiste, pour une entité intelligente, à recevoir en héritage le savoir de ces 4 choses-là.
Mais alors ?
Ce que vous mettez sous les projecteurs de la science dans votre article : L'espionnage puis le vol puis le camouflage juridique, puis l'omerta pour faire oublier quels furent les Innovants à l'origine de ces brevets etc..... ce n'est qu'un aspect actuel d'un processus qui dure depuis le début du Néolithique :

LE NON PARTAGE ÉGALITARISTE DU 


FRUIT DES INNOVATIONS ANCESTRALES.

Avant que l'agriculture ne soit une des causes de l'apparition de la classe esclavagiste, avant l'apparition des premiers métastases du cancer social qui ronge l'humanité – les guerriers esclavagistes de la strate des Parasites, il ne serait jamais venu l'idée à un Innovant de s'arroger le droit d'usage d'une Découverte ou d'une Invention sans en partager les fruits avec les autres humains.

Quand de prétendus chercheurs sont en fait des militaires d'un genre spécial venus piller les peuples appelés « autochtones » (comme si les Parisiens n'étaient pas des « autochtones » du Bassin Parisien ou les New-Yorkais, des « autochtones » de l'île de Manhattan) – repartent avec leur butin, ils reproduisent ce que font les pillards depuis des temps immémoriaux.

ILS VOLENT LE SAVOIR ANCESTRAL 

Ils volent le Savoir Ancestral de la même façon que le vol du nickel est organisé, de la même façon que le Niger est volé de l'uranium de son sous-sol (on entend parler absurdement d'indépendance énergétique de la France grâce au nucléaire.... dont le combustible provient d'un « para-Etat » voyou mis en place par les colons ….. hors de France.
Les voleurs dont vous parlez dans votre article viennent piller sans vergogne le stock des Innovation ancestrales pharmaceutiques de la Nouvelle-Calédonie.
Aucune pitié pour ces gens-là !
Ils s'arrogent un savoir produit par d'autres !
Et, les mêmes viendront geindre auprès d'un supérieur ou même d'un juge si, d'aventure, un autre chercheur venait à leur infliger à eux ce que eux infligent aux Innovants de Kanaki.
On imagine aisément la mentalité pourrie de ces coupables-là en repensant aux racistes – avérés et/ou hypocrites – mis en scène dans le film L'Ordre et la Morale de Mathieu Kassovitz.  Un film, d'ailleurs, qui fut lui aussi victime de la même quasi-omerta dont sont victimes les Innovants de Kanaki spoliatés du fruit de leur « travail-loisir » de chercheur.


En conclusion post-scriptum de ce texte écrit le 08/01/2014, il est possible de lire cet article écrit bien plus tard (en ayant oublié le contenu ci-dessus mais en résonnance)
PS : Je n'ai pas eu le temps de faire cela.



L'ARTICLE QUI AVAIT INSPIRE CE TEXTE est ici

Les chercheurs, incorrigibles flibustiers de la connaissance ?

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Les autochtones ont de tout temps été des « partenaires » avisés des scientifiques, permettant notamment la découverte de ressources naturelles d’un grand intérêt pour les sociétés humaines. Des disciplines spécialisées dans l’étude systématique des savoirs traditionnels associés à l’environnement – comme l’ethnobotanique ou l’ethnopharmacologie – ont ainsi vu le jour.

Pour autant, les autochtones sont des partenaires avec qui les scientifiques entretiennent souvent des relations fluctuantes. De l’amour fusionnel lors de la phase d’identification de ressources naturelles d’intérêt, le traitement réservé aux savoirs traditionnels et à l’apport des autochtones peut rapidement virer à l’ignorance, voire au mépris total lors des phases d’analyse et de valorisation des ressources identifiées. Cette relation de partenariat à géométrie variable conduit parfois certains commentateurs à dépeindre les scientifiques comme des « pirates » sans scrupule des connaissances autochtones.
CARACTÈRE PARFOIS FLUCTUANT DES RELATIONS ENTRE SCIENTIFIQUES ET AUTOCHTONES
La réalité se révèle souvent plus nuancée. Les scientifiques ne sont ni anges ni démons, mais des acteurs naviguant à vue entre légalité et légitimité. Des acteurs se contentant parfois des dispositions du droit qui les autorisent à exploiterlégalement, et généralement sans obligation de partage des bénéfices, les connaissances traditionnelles. Des acteurs ignorant – sciemment ou non – leur responsabilité dans le changement social touchant le domaine de la circulation des savoirs traditionnels. Et ce, au risque de mettre sérieusement en péril les relations de collaboration avec les autochtones.
Un projet de recherche français illustre parfaitement ce caractère parfois fluctuant des relations entre scientifiques et autochtones au cours des différentes phases successives de la recherche. Dans les années 1990, des chercheurs de l’Institut de recherche pour le développement (IRD), basé en Nouvelle-Calédonie ont commencé des recherches au sujet de la ciguatera, une intoxication alimentaire résultant de l’ingestion de poissons contaminés par des toxines. Les recherches ont notamment consisté en des enquêtes auprès des populations autochtones, permettant ainsi d’identifier une liste importante de remèdes traditionnels (près d’une centaine) utilisés depuis des temps immémoriaux pour le traitement de l’infection et notamment le faux tabac ou Heliotropium foertherianum.
Fleurs de faux tabac ("Heliotropium foertherianum") utilisée en médecine traditionnelle en Nouvelle-Calédonie, dans lesquelles un principe actif contre la ciguatera, l'acide rosmarinique, a été identifié.
Fleurs de faux tabac ("Heliotropium foertherianum") utilisée en médecine traditionnelle en Nouvelle-Calédonie, dans lesquelles un principe actif contre la ciguatera, l'acide rosmarinique, a été identifié. | Mullookkaaran
En se basant sur ces remèdes et suite à des analyses en laboratoire, les chercheurs sont parvenus à identifier un principe actif, l’acide rosmarinique. L’ayant isolé et identifié, l’IRD et ses chercheurs ont déposé, en 2009, un brevet portant sur l’utilisation de cette molécule et ses dérivés pour le traitement de la ciguatera. Durant la phase de recherche préliminaire, les communautés autochtones ont fait l’objet d’une attention très particulière en raison de leur statut de pourvoyeurs privilégiés d’informations pertinentes. Puis, par la suite, elles ont étrangement disparu du champ des acteurs impliqués dans la recherche et n’ont obtenu aucun crédit ni aucune redistribution lors de l’obtention du brevet. Dans cette affaire, comment faut-il interpréter le comportement des chercheurs, associant les communautés lors des premières phases de recherche, puis les « oubliant » lors de la valorisation des résultats ?
Assurément, les chercheurs ont tiré profit des connaissances autochtones et admettent d’ailleurs s’être « inspirés des remèdes traditionnels océaniens ». Mais leur démarche répond dans les faits à une double logique : la valorisation maximale de leurs résultats de recherche sous forme de droits de propriété intellectuelle et, plus important encore, le sentiment de respecter scrupuleusement la loi, qui ne les oblige pas, généralement, à partager les bénéfices de leurs découvertes avec les autochtones !
OBJECTIFS DE RÉSULTATS
En effet, les chercheurs, et notamment les scientifiques français, sont de plus en plus contraints par des objectifs de résultats et de valorisation de ces derniers, en particulier dans le domaine des sciences du vivant. Ainsi le dépôt de droits de propriété intellectuelle constitue un des critères les plus valorisés pour l’évaluation des chercheurs et des laboratoires. Les chercheurs se trouvent donc poussés àconvertir leurs résultats en droits de propriété intellectuelle, quand bien même (de l’aveu de certains d’entre eux) ces droits n’auraient pas vocation à être exploités, faute de moyens ou de marché viable. C’est le cas de l’acide rosmarinique pour lequel aucune étude clinique n’a été prévue à ce jour et qui n’est pas exploité commercialement jusqu’à présent. Pour les autochtones exclus de ce processus – car n’étant pas considérés comme « inventeurs » au sens du droit de la propriété intellectuelle –, le dépôt d’un brevet est souvent perçu comme une appropriation et une exploitation injustes de leurs savoirs !
D’un autre point de vue, les chercheurs n’ont aujourd’hui, dans la plupart des Etats du monde, aucune obligation de partage des avantages découlant de l’exploitation des savoirs autochtones. En effet, bien que la convention sur la diversité biologique de 1992 et le protocole de Nagoya de 2010 aient reconnu la valeur de ces savoirs et la nécessité d’organiser un partage des avantages avec les communautés, la mise en œuvre de ces principes est confiée aux Etats. Or, comme une très grande majorité d’entre eux (parmi lesquels la France) n’a pas adopté de mesures spécifiques, aucun cadre réglementaire ne protège les savoirs sur leurs territoires.
Cette situation est-elle pour autant une invitation au « pillage » légal des connaissances autochtones ou, au contraire, une raison de suspendre tout projet de collaboration avec eux, et ce, au détriment de l’avancement des connaissances scientifiques ?
ABSENCE DE RÉGLEMENTATION DES ETATS
Ni l’un ni l’autre si l’on admet et promeut la capacité qu’ont les acteurs de la société civile de se doter de leurs propres cadres normatifs, en marge ou en complément des cadres étatiques. En ce sens, l’inaction de l’Etat pourrait être vue non comme une fatalité mais au contraire comme une invitation, voire une chance pour les acteurs de la société civile.
Certains chercheurs, organismes et communautés autochtones se sont saisis de cette opportunité. En effet, une très grande variété de pratiques visant à pallierl’absence de réglementation des Etats est aujourd’hui observable. Il s’agit, par exemple, de codes de bonnes pratiques, de protocoles de recherche, d’ententes conventionnelles, voire de véritables institutions, sortes de bibliothèques chargées de la gestion des savoirs, comme l’Agence pour le développement de la culturekanak en Nouvelle-Calédonie. De fait, une véritable révolution tranquille des règles d’accès et d’utilisation des savoirs autochtones est progressivement en train devoir le jour, à l’ombre du droit des Etats.
Mais alors que ces pratiques sont souvent mal connues et mal documentées – en raison notamment de leur ampleur parfois modeste –, la question de leur qualité se pose de manière de plus en plus pressante. Dans ce contexte, seul le temps et leurs usages permettront de dire si elles participent réellement à l’émergence d’une nouvelle éthique et à une réelle refondation des relations avec les autochtones. Ou s’il ne s’agit, finalement, que d’un mirage quant à la capacité de changement social des acteurs de la société civile dans ce domaine…

COMPLEMENT SUR LE BLOG
DE THOMAS BURELLI

mardi 26 juin 2012

CONTRIBUTIONS À LA RECHERCHE

(Les publications sont disponibles en ligne sur http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli ou sur demande auprès de l'auteur)

Articles scientifiques

BURELLI T., (2013)  « Collaboration entre scientifiques et communautés autochtones et locales : Le patrimoine culturel immatériel autochtone face aux logiques de développement et de valorisation de l’innovation »,Innovation et Droit, L.G.D.J., p. 135-154  (20 pages).http://www.academia.edu/attachments/31881090/download_file

BURELLI T., (2013) « Les autochtones de l’outre-mer français face aux activités de recherche sur la biodiversité. Quel rôle et quels pouvoirs pour les populations autochtones et locales de l’outre-mer ? », Elohi, Peuples indigènes et environnement, n° 2, p. 95-113  (19 pages).http://www.academia.edu/attachments/31881071/download_file

BURELLI T., (2013) « Les chemins tortueux de la mise en œuvre de la Convention sur la Diversité Biologique dans l’outre-mer français », Revue Juridique de l’environnement (RJE) n° 1,  31-47 (17 pages).http://www.academia.edu/attachments/31881045/download_file

BURELLI, T., (2012) « Propriété intellectuelle et savoirs traditionnels en Nouvelle-Calédonie - Pertinence et potentialités du projet de loi du pays relatif à la sauvegarde du patrimoine immatériel autochtone », in FABERON J.-Y. et MENNESSON T. (dir.), Peuple premier et cohésion sociale en Nouvelle-Calédonie - Identités et rééquilibrages, PUAM, 115-129 (14 pages).http://www.academia.edu/attachments/31260081/download_file  

BURELLI T., (2012) « La reconnaissance et de la protection des savoirs traditionnels associés à la biodiversité dans l’outre-mer français : une nécessité jusqu’à présent négligée », Les Cahiers d’anthropologie du droit, Le statut des peuples autochtones. À la croisée des savoirs, 137-162 (26 pages).http://www.academia.edu/attachments/31260130/download_file 

BURELLI T., (2012) « Faut-il se réjouir de l’adoption du protocole de Nagoya ? », Revue Juridique de l’Environnement (RJE) n° 1, 45-62 (18 pages).http://www.academia.edu/attachments/31260130/download_file

BURELLI T., POUPELIN P., (2012) « Le nouveau pouvoir de sanction de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé », Petites affiches, n° 132, 18-20 (3 pages).

BURELLI T., (2011) « La Nouvelle-Calédonie face au défi de la mise en œuvre d'un dispositif d'accès et de partage des avantages (APA). Premiers retours de l'expérience tentée par la province sud », Revue de la recherche juridique : droit prospectif, n° 3, 1419-1437 (19 pages).http://www.academia.edu/attachments/31260101/download_file

BURELLI T., (2011) « Coutume kanak et justice de la République. À propos de l’ouvrage de Régis Lafargue : « La coutume face à son destin » », Revue Juridique, Politique et Économique de Nouvelle-Calédonie, 150-155 (6 pages).http://www.academia.edu/attachments/31260136/download_file

Articles de vulgarisation

BURELLI T., (accepté pour publication en 2013) « Les chercheurs : incorrigibles flibustiers de la connaissance ? » - Prix du concours de vulgarisation organisé par l’ACFAS. 

BURELLI T., (2012) « La reconnaissance et la protection des savoirs traditionnels : nouvel horizon des revendications autochtones », Revue Ikewan n. 86, 10-13 (4 pages). http://www.academia.edu/attachments/31413175/download_file

Rapports


BURELLI T., (2012) L’accès et le partage des avantages au Muséum National d’Histoire Naturelle : problématiques et solutions pour une amélioration des démarches des chercheurs en matière d’APA, Rapport remis à la direction des collections du Muséum National d’Histoire Naturelle, (17 pages).

Aubertie S., Aubertin C., Biber-Klemm S., Boisvert V., Bambridge T., Burelli T., Doussan I., Feldmann P.,  Filoche G., Francheteau-Laronze M., Lafargue Régis, Siiriainen F., Wahiche J-D. Pertinence et faisabilité de dispositifs d'accès et de partage des avantages en outre-mer, portant sur les ressources génétiques et les connaissances traditionnelles associées, Etudes et documents du Commissariat général au développement durable n°48, 2011, disponible à l'adresse :http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/ED48.pdf

Communications lors de conférences


BURELLI T., (à venir en 2014) “The unexpected effects of the recognition of indigenous rights in New Caledonia: The story of an assimilation measure becoming the trigger for the acculturation of the French legal system”, Montréal (Canada), Centaur conference: The Legalization of Culture and the Enculturation of Law. http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli 

BURELLI T., (2013) « La régulation de l’exploitation de la biodiversité et des savoirs autochtones associés en France et au Canada : Entre immobilisme étatique et dynamisme infra-étatique », Aix en Provence (France), Colloque Peuples Indigènes et Ressources du Vivant. http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli

BURELLI T., (2013) “The French Republic and its indigenous people: the challenge of accepting and organizing legal pluralism in New Caledonia”, Vancouver (Canada) Law on the Edge, Joint Meeting of CLSA and LSAANZ.http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli

BURELLI T., (2013) « L’attrait des scientifiques pour les savoirs traditionnels associés à biodiversité : entre dynamiques de collaboration et dynamiques d’exclusion dans l’outre-mer français », Québec (Canada) Congrès 2013 de l’Association francophone pour le savoir. http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli

BURELLI T., (2012) « Le projet de loi du pays relatif à la sauvegarde du patrimoine immatériel autochtone », Nouméa (Nouvelle-Calédonie) Colloque Peuple premier et cohésion sociale en Nouvelle- Calédonie. http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli

BURELLI T., (2012) « Collaboration entre scientifiques et communautés autochtones et locales », Nouméa (Nouvelle-Calédonie) Séminaire de recherche en sciences sociales de L’IRD de Nouméa. http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli
BURELLI T., (2011) « Les autochtones de l’outre-mer français face aux activités de recherche sur la biodiversité », Bordeaux (France), Colloque Peuples indigènes et droit de l’environnement. http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli

BURELLI T., (2011) « Gestion des phénomènes érosifs : quel avenir pour les mesures agro-environmentales territorialisés ? Le cas de la Seine-Maritime », Tours (France), Colloque Territoire et Environnement : des représentations à l’action.http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli

BURELLI T., (2011) « Les détenteurs de savoirs traditionnels associés à la biodiversité et le droit d'auteur français », Moorea (Polynésie française) Séminaire "savoirs traditionnels et biodiversité du Pacifique", Criobe et Institut des Récifs Coralliens du Pacifique (IRCP). http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli

BURELLI T., (2011) « Droit international et droit des peuples autochtones », Campus international d’été de Rouen sur les peuples autochtones.http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli

BURELLI T., VARISON L., (2011) « Jeu de rôle autour de la négociation d’un traité international sur les droits des peuples autochtones », Rouen, Campus international d’été de Rouen sur les peuples autochtones.http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli

BURELLI T., (2010) « Réflexions sur la reconnaissance et la protection des savoirs traditionnels dans l’outre-mer français », Rouen Campus international d’été de Rouen sur les peuples autochtones. http://uottawa.academia.edu/ThomasBurelli

Comptes rendus de lecture


Burelli T., Note de lecture sur Lafargue R., La Coutume face à son destin. Réflexions sur la coutume judiciaire en Nouvelle-Calédonie et la résilience des ordres juridiques infra-étatiques, Droit et cultures n° 61, 2011, disponible à l'adressehttp://www.reds.msh-paris.fr/publications/revue/pdf/ds78/ds078-biblio.pdf

Mémoire de master


Burelli T., La bioprospection dans l'outre-mer français : opportunités présentes et perspectives futures pour les activités de bioprospection dans l'outre-mer français, Master 2 droit de la santé : propriété industrielle et industrie de santé, 2012.

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