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samedi 28 février 2015

Abdoulaye Camara fut agressé une heure avant sa mort par 6 (+-) inconnus dont une femme au moins: La vérité camouflée par le procureur Francis Nachbar Un article de Abdourahmane P. Camara (Paix et Liberté)

Abdoulaye Camara fut agressé une heure avant sa mort par 6 (+-) inconnus dont une femme au moins: La vérité camouflée par le procureur Francis Nachbar

Abdoulaye Camara
tué par la police
10 balles le 16 décembre 2014

par Abdourahmane P. Camara
28/2/2015

"[Abdoulaye] a auparavant saccagé son appartement,
 brisé des vitres, selon Francis Nachbar, 
et s’est blessé en se faisant de sanglantes coupures
"
Mensonges propagés par la Presse Havraise
"Il y a des témoignages du voisinage, il y a eu du bruit dans les escaliers, des bruits plus fort dans l'appartement. Et le cri d'une femme dans l'appartement. Un cri qui a duré... un cri qui a été long..."
(...)
"Ils étaient six"
(...) 
"une personne s'étant vantée de  "savoir que des gens sont allés agresser
quelqu'un qui s'est fait tué ensuite"


 
La version énoncée par le procureur du Havre est un mensonge flagrant.
C'est pourtant cette version-là qui a été mise dans le crâne des Havrais.

(Normandie Actu) "La version du procureur de la République du Havre. Armé d’un couteau, Abdoulaye a été tué alors qu’il venait de poignarder gravement un passant. Il se trouvait en « état de démence », a déclaré le procureur de la République du Havre, Francis Nachbar. Peu avant 1h du matin, « les services de police sont avertis qu’un individu en sang, armé d’un couteau, est très menaçant dans les rues ». Cet homme, vociférant, en short et pieds nus, porte un couteau dans la main. Il a auparavant saccagé son appartement, brisé des vitres, selon Francis Nachbar, et s’est blessé en se faisant de sanglantes coupures. Avant de quitter son immeuble, cet homme a menacé deux jeunes filles, ses voisines, et un jeune homme. Alors que les deux jeunes sœurs rentraient chez elles pour s’y réfugier, cet homme a tenté d’enfoncer leur porte. Elles ont alors prévenu la police. Dans la rue, Abdoulaye aurait ensuite pris à partie un premier véhicule de police, puis un autre, dont il a violemment frappé une vitre avec son couteau, un instrument bricolé avec trois lames, assez courtes mais très acérées, toujours selon les précisions du procureur."  
Paris-Normandie - qui croit au diable - parlait d'Abdoulaye de la même façon :
"Avant de sortir de chez lui, il avait démoli l’intérieur de son appartement où il vivait seul. Il avait également brisé les fenêtres de son appartement et s’était blessé" (Paris-Normandie)

Comment ces gens pouvaient-ils savoir ce qui s'est passé dans l'appartement ?


Celui qui a été victime d'agression est devenu le coupable.
"Il a auparavant saccagé son appartement, brisé des vitres, selon Francis Nachbar, et s’est blessé en se faisant de sanglantes coupures(Normandie Actu)

ABDOULAYE N’ÉTAIT PAS SEUL LE SOIR DE L'AGRESSION

Si l'on écoute le procureur mon frère a saccagé son appartement. Tout seul.
Sauf que Abdoulaye n'était pas seul le soir du 16 décembre.
Il y a des témoignages du voisinage, il y a eu du bruit dans les escaliers, des bruits plus fort dans l'appartement. Et le cri d'une femme dans l'appartement. Un cri qui a duré... un cri qui a été long...
Je sais que la police a pris la déposition de ce voisin.
Mais les journaux locaux n'en parlent pas.
Grâce à mon blog, ces vérités camouflées sont à découvert.
Ce sont évidemment ces six personnes que des gens du quartier ont vu qui ont 
agressé Abdoulaye.

"SIX VISITEURS" SELON UN TÉMOIN AFFIRMATIF

Un témoin âgé affirme même catégoriquement que le nombre des visiteurs était six ni plus ni moins.
Il a dit à Mamadou au téléphone :

"Ils étaient six" 
Il faudrait que ces témoins cessent d'avoir peur de la police havraise pour témoigner.

D'AUTRES TÉMOIGNAGES EN LIAISON AVEC LES AGRESSEURS

Un ami à moi a même entendu une personne s'étant vantée de
 "savoir que des gens sont allés agresser quelqu'un qui s'est fait tué ensuite"
Cela signifie que les renseignements circulent sur les noms de ceux qui ont attaqué mon frère le soir du 16 décembre.
On est le 28 février. 

Cela fait 2 mois et 12 jours qu'on attend la vérité.

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