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samedi 10 novembre 2018

Jihadistes du Mali : mensonges coordonnés du Monde, de la "Voix de l'Amérique" VOA, CIA et DGSE sur Iyad Ag Ghali toujours en cavale depuis.... janvier 2012 ... sous la protection de Puga, Le Drian, Sarkozy, Hollande, Macron

Iyad Ag Ghali chef terroriste au Mali
Par Julie Amadis et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
REVACTU
10/11/2018

"Iyad Ag Ghali est une personnalité qui (...)  je le pense, vous me permettrez de ne pas être trop spécifique, bénéficie de toute évidence de certaines protections.(...).
Mais, encore une fois, Iyad Ag Ghali bénéficie de certaines protections.
C’est vrai."
Ces aveux stupéfiants de l'ancien directeur de la DGSE Bernard Bajolet - qui a eut les mains dans le sang - il devra les préciser devant un de nos juges JDR de la révolution qui vient !
Et cela même s'il a peur de se faire "nettoyer" avant le "protégé" de Le Drian, Hollande, Puga Sarkozy, Macron.
Un accident est si vite arrivé pour les espions trop bavards !
Rappelons que ce même Bernard Bajolet est celui à qui Le Drian a réussi à tordre le bras en octobre 2013 quand les deux chefs terroristes Benoit Puga et Jean-Yves Le Drian organisaient le recyclage des 28 chefs terroristes de la liste Tessougué et que la DGSE était priée de cotiser pour les légions Ansardine d'Iyad Ag Ghali...... que Hollande voulait récompenser pour ses crimes d'Aguel Hoc


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SAMEDI 3 NOVEMBRE 2018







Jihadistes du Mali : mensonges coordonnés du Monde, de la "Voix de l'Amérique" VOA, CIA et DGSE sur Iyad Ag Ghali toujours en cavale depuis.... janvier 2012 ... sous la protection de Puga, Le Drian, Sarkozy, Hollande, Macron


Le Monde et la Pravda de la Maison Blanche - VOA "La Voix de l'Amérique" font quasiment le même article pour faire semblant d'informer leurs lecteurs sur les jihadistes du Mali. On pourrait même s'interroger pour savoir si la CIA ou la DGSE ont fait une réunion pour rédiger eux même ce texte qu'ils auraient transmis aux journalistes par l'intermédiaire de l'AFP, média barbouze en chef.

Version du journal français Le Monde

Le Monde "Au Mali, trois importants chefs djihadistes appellent à « poursuivre le djihad »"

Traditionnellement, Djamel Okacha mène des opérations militaires dans la région de Tombouctou (nord-ouest), Iyad Ag Ghali dans la région de Kidal (nord-est), à la frontière entre le Mali et l’Algérie, tandis qu’Amadou Koufa est censé diriger ses troupes dans le centre du Mali. Les trois hommes, bien que particulièrement recherchés, réussissent un tour de force en apparaissant côte à côte et en affichant leur unité et leur détermination, démontrant leur connaissance du terrain et leur mobilité malgré la présence d’un important dispositif sécuritaire déployé par les autorités maliennes et par les forces internationales présentes depuis des années au Mali.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes djihadistes liés à Al-Qaida, à la faveur de la déroute de l’armée face à la rébellion à dominante touarègue, d’abord alliée à ces groupes qui l’ont ensuite évincée. Les djihadistes ont été en grande partie chassés du nord du Mali ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l’initiative de la France, d’une intervention militaire, qui se poursuit actuellement. Cependant, les violences djihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires. Le Monde
Version du journal Etats-uniens VOA

Voix de l'Amérique "Mali: trois importants chefs djihadistes apparaissent dans une vidéo"

"Traditionnellement, Djamel Okacha mène des opérations militaires dans la région de Tombouctou (nord-ouest), Iyad Ag Ghaly dans la région de Kidal (nord-est), à la frontière entre le Mali et l'Algérie, tandis qu'Amadou Koufa est sensé diriger ses troupes dans le centre du Mali.
Les trois hommes, bien que particulièrement recherchés, réussissent un tour de force en apparaissant côte à côte et en affichant leur unité et leur détermination, démontrant leur connaissance du terrain et leur mobilité malgré la présence d'un important dispositif sécuritaire déployé par les autorités maliennes et par les forces internationales présentes depuis des années au Mali.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes djihadistes liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l'armée face à la rébellion à dominante touareg, d'abord alliée à ces groupes qui l'ont ensuite évincée.
Les djihadistes ont été en grande partie chassés du nord du Mali ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire, qui se poursuit actuellement.
Cependant, les violences djihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires." VOA
Comme on peut le constater la créativité au Monde consiste à ajouter un lien au milieu du texte tandis que la Voix de l'Amérique - avec une créativité supérieure - le découpe en plusieurs paragraphes.

La BBC a fait,- elle - preuve d'"originalité" et s'est contentée de piocher dans le dernier paragraphe les verbes "persister" et "propager"
Depuis les violences jihadistes persistent et se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali puis au Burkina Faso et au Niger voisins.
Paragraphe à comparer avec celui de VOA-CIA et Le Monde DGSE
Cependant, les violences djihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires." VOA
On peut même remarquer que cette coordination des médias barbouzes pour mentir ensemble est ancienne. Une recherche Google sur une des phrases l'atteste !
Rien d'étonnant à ce que CIA et DGSE (et partiellement le MI6 britannique, petit toutou de la CIA) accordent leurs violons sur Iyad Ag Ghali à commencer par le fait de coordonner leurs efforts pour ne jamais réussir à l'attraper. Et cela dure depuis presque 7 ans.
Se réunir pour accorder leurs violons est logique puisque Iyad Ag Ghali a travaillé pour la CIA et la DGSE.
Il suffit d'une simple recherche Google pour avoir les compte-rendus de cet agent terroriste au service des USA quand il travaillait pour l'ambassade US à Bamako
Les premières lignes montrent que ce prétendu ennemi des USA était à leur service en 2007 :


(C) Summary: During a November 24 meeting with the Embassy in Bamako, Tuareg rebel Alliance for Democracy and Change (ADC) leader Iyad ag Ghali ...
Others sources also questioned the political acumen of the conference organizer, Iyad ag Ghali, a prominent Kidal Tuareg politician and currently Malian Consul ...
Ag Erlaf said Algeria needed to resume its role as principal mediator within a week to ten ... (C) ADC president Iyad ag Ghali has been northern Mali's BAMAKO ...
Mondafrique dénonce même le fait que cette même année il a rencontré tranquillement l'ambassadeur américain Terence Mc Culley pour avoir le soutien des USA.
"En 2007, il se rend en personne auprès l’ambassadeur américain Terence McCulley et réclame l’assistance des Etats-Unis lors d’opérations spéciales contre Aqmi. A l‘époque, l’homme prône déjà l’imposition de la charia mais affirme à l’ambassadeur que les populations du nord Mali ne sont pas très réceptives à l’extrémisme." Mondafrique
On comprend que les USA apprécient un tel terroriste... qui leur demande même d'envahir son pays. : Les accusations de Jeremy Keenan que Mondafrique rapportant concernant les années 2006, on a vu que c'est exactement le plan que Revactu et #IpEaVàEaFàF dénonçons depuis des années sur l'attaque de janvier 2012 - commandite de Sarkozy Puga et la DGSE
"Mais selon Jeremy Keenan, anthropologue britannique spécialiste des touaregs, le plan va plus loin. Iyad et le DRS auraient conclu un accord secret prévoyant que les rebelles lancent ensuite des attaques contre le GSPC. C’est chose faite en juillet et octobre 2006, moyennant rémunération pour Iyad et ses hommes. Ces opérations permettent alors de réactiver la problématique djihadiste au Mali et de justifier l’intervention américaine dans la région dans le cadre de la GWOT (Global War on Terror), avec Alger comme partenaire privilégié, explique Keenan. Pur fantasme ou fragments de vérité ? Reste que c’est de nouveau sous le parrainage de l’Algérie que se tiennent les négociations avec le gouvernement malien. Comme en 2003, Iyad ressort son costume de faiseur de paix pour faire aboutir les accords d’Alger, en juillet 2006."
 Fournir en janvier 2012 le prétexte de l'invasion du Mali est le même plan que le GWOT des USA pour lequel Ag Ghali travaillait en 2007 au service du DRS et de la CIA !

Car Iyad Ag Ghali est autant l'homme du DRS que de la DGSE...... autant du BND allemand que de la CIA !

Il arrive même parfois que le journal Le Monde s'en rendre compte
6 oct. 2016 - En 2014, alors qu'elle avait Iyad Ag-Ghali, chef du mouvement djihadiste malien Ansar Eddine à portée de fusil, la France a choisi de prendre ...
Termes manquants : wikileaks

Malijet fait remarquer que le chef de tous les terroristes au Mali n'est jamais arrêté !
S’il n’est jamais arrêté, c’est que celui que l’on surnomme « le lion du désert » n’a rien perdu de son influence dans la région. Ses puissants réseaux, de Kidal aux ex Renseignements algériens (DRS), en passant par des personnalités en vue à Bamako, en font une personnalité incontournable, pesant de tout son poids dans la crise malienne Malijet

Iyad Ag Ghali n'est jamais arrêté parce qu'il est au service de la Franceàfric, de l'Algérieàfric et de l'USAfric !

Il a reçu de Hollande 20 M d'€ en octobre 2013 sous le prétexte des otages détenus par les cousins du terroriste ! Une somme d'argent gigantesque qui lui a permis de financer une armée entière de terroristes criminels.


20 M d'€uros : Hollande et Macron ont financé l'attaque Ansardine JNIM du QG G5 Sahel ! Impunité depuis 2013 pour le jihadiste Iyad Ag Ghali pantin DGSE-DRS-CIA-BND

IYAD AG GHALI LE PROTÉGÉ
DE SARKOZY PUGA HOLLANDE LE DRIAN MACRON

C'EST BERNARD BAJOLET EX-DIRECTEUR DES SERVICES SECRETS DGSE QUI L'AVOUE ....
SANS OSER DONNER LE NOM DES PROTECTEURS

8 oct. 2018 - Pour lui, le leader terroriste Iyad Ag Ghali est sous protection. ... jusqu'au moment oùWikiLeaks a publié un télégramme de compte-rendu de ...
Iyad Ag Ghali est une personnalité qui a un certain prestige dans cette région, dont on peut tout à fait regretter qu’il soit devenu un chef terroriste. Et qui, je le pense, vous me permettrez de ne pas être trop spécifique, bénéficie de toute évidence de certaines protections.
Et certains soupçonnent Bamako de pratiquer un double jeu avec Iyad Ag Ghali. C’est-à-dire de le combattre le jour et de parler avec lui la nuit.
Je n’irais pas jusqu’à dire cela et je n’ai pas d’éléments qui me permettraient d’aller dans ce sens. Mais, encore une fois, Iyad Ag Ghali bénéficie de certaines protections. C’est vrai.

Ces aveux stupéfiants de l'ancien directeur de la DGSE Bernard Bajolet - qui a eut les mains dans le sang - il devra les préciser devant un de nos juges JDR de la révolution qui vient !
Et cela même s'il a peur de se faire "nettoyer" avant le "protégé" de Le Drian, Hollande, Puga Sarkozy, Macron.
Un accident est si vite arrivé pour les espions trop bavards !
Rappelons que ce même Bernard Bajolet est celui à qui Le Drian a réussi à tordre le bras en octobre 2013 quand les deux chefs terroristes Benoit Puga et Jean-Yves Le Drian organisaient le recyclage des 28 chefs terroristes de la liste Tessougué et que la DGSE était priée de cotiser pour les légions Ansardine d'Iyad Ag Ghali...... que Hollande voulait récompenser pour ses crimes d'Aguel Hoc

Iyad Ag Ghali est un jihadiste depuis le début des années 2000.
En 2007 quand il rencontre l'ambassadeur américain il est un jihadiste depuis déjà de nombreuses années !
À la fin des années 1990, il commence à se tourner vers l'islamisme, il voyage et est appelé à plusieurs reprises pour négocier la libération d'otages occidentaux détenus par les djihadistes. Cependant il se lie de plus en plus avec ces derniers au cours des années 2000.
Wikipédia

Il devient le chef terroriste d'Ansardine à partir du 15 décembre 2011 au moment où Sarkozy les envoie envahir le Mali, début 2012.
Cette date est donnée par Mondafrique au milieu d'un paragraphe "oubliant" étrangement les aveux du leader MNLA Hama Ag Mahmoud rapportant la commande par Sarkozy de la trahison envers Kadhafi puis de l'attaque du Mali sous protection français
A la fin de l’année 2011, la colère gronde à nouveau au nord du Mali. La chute de Kadhafi entraine le retour au bercail de nombreux touaregs maliens ayant combattu pour l’armée du « Guide ». Lorsqu’une autre grande figure de la rébellion, Ibrahim Ag Bahanga, tente de fédérer ces combattants avec d’autres rebelles locaux pour former le MNLA, Iyad revendique le leadership. Sans succès. Les membres de la nouvelle rébellion se méfient de cet homme tortueux jugé trop proche d’Aqmi, de l’Algérie, et dont les manœuvres dans les années 1990 ont provoqué l’éclatement du camps rebelle.
Qu’à cela ne tienne, le 15 décembre 2011, il créé son propre mouvement, Ansar Dine, autour d’un noyau de fidèles et de certains membres d’Aqmi. A la même époque, Iyad essuie un deuxième revers. Lorsqu’il aspire à la chefferie traditionnelle des Ifoghas, le patriarche Intallah Ag Attaher lui préfère son fils, Alghabass Ag Intallah. A la tête d’Ansar-Dine, Iyad reprend pourtant vite du galon grâce à ses nombreux soutiens. En plus de l’appui logistique et financier que lui prodigue l’Algérie, les membres de la katiba d’Aqmi, Al-Ansar, dirigée par son cousin Abdelkrim le Targui lui apportent leur soutien. Très vite, la puissance militaire d’Ansar Dine dans les combats surpasse celle du Mnla. Des alliances de circonstance se forment.
Il manque à cet article plutôt complet la révélation des contacts entre Henri de Raincourt pour Juppé et Sarkozy et les terroristes MNLA.
Le ministre délégué à la coopération coopérait fin 2011 et l'année 2012 avec les terroristes MNLA !!
Wikipédia sous contrôle DGSE se ridiculise par les contes de fée !.... En se trompant d'année pour la création d'Ansardine !
En 2012, au début de la guerre du Mali, il fonde le groupe salafiste djihadiste Ansar Dine dans le but d'instaurer la charia au Mali. En 2017, il prend la tête du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), né de la fusion de la plupart des groupes djihadistes maliens.  Wikipédia

Car si les terroristes ont eu la possibilité d'envahir un pays comme le Mali c'est qu'ils ont été missionnés. Nous avons les preuves que Sarkozy les a envoyés envahir le Mali début 2012.
Mon article repris par Marocleaks en faisait l'exposé :

Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT

"Le Qatar, ami de la France, finance, organise, arme, les groupes djihadistes MNLA, Ansardine, AQMI qui envahissent le Mali et y installent un régime fasciste criminel anti-vie. Sarkozy s'allie à ces timbrés faux musulmans pour attaquer la Libye et dézinguer Kadhafi.

Un des principaux chefs MNLA Hama Ag Mahmoud a témoigné en 2014 :
- La France aurait donc poussé le MNLA à occuper les villes du Nord du Mali ?


- Oui tout à fait. La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. Ensuite de bloquer le recrutement des libyens dans l’Azawad et dans l’Aïr au Niger.(Hama Ag Mahmoud terroriste chef MNLA)
"La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad"

Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de politique. Elle a mis tout son dispositif diplomatique contre le MNLA. Alors conclusion, l’objectif de la France était tout simplement d’affaiblir le gouvernement malien et je peux vous assurer que ce n’était pas pour donner raison au MNLA. (Malijet)






Si la France envoie les djihadistes au Mali, c'est parce qu'elle y a des intérêts colonialistes.Pour que les plus gros patrons français puissent continuer à verser des salaires d'esclavagistes à 50€/mois, il faut un régime suffisamment répressif pour tuer toute contestation. La mise en place de dictateurs franceàfric ne suffit pas, l'Etat français envoie maintenant en plus des tortionnaires sanguinaires islamofascistes pour terroriser les populations.
Secondairement, comme nous le dit l'ancien chef MNLA, Hama Ag Mahmoud, la France recherche à exploiter la richesse des ressources minières que convoitent aussi de nombreux autres pays.

- A vous entendre, les enjeux de cette guerre sont cachés. Quels sont-ils, selon vous ?

- Tout le monde convoite notre territoire. Il y a une guerre pour les ressources minières. La France a pris les devants pour obliger le Mali à signer un accord de défense et ensuite s’octroyer des concessions minières et protéger celles qui existent déjà. C’est ça l’essence de cette guerre. Les autres puissances ne sont pas dupes. Et ça pourrait ouvrir la porte à une intervention étrangère avec une implication des américains, des russes et même des chinois. Je vois mal ces pays laisser la France faire une OPA sur les ressources de l’Azawad et de la région.(Malijet)

Pendant que les amis djihadistes de la France attaquent le Nord du Mali, la France fait croire à l'opinion publique qu'elle vient "libérer" le pays en attaquant par le Sud.
En fait il s'agit qu'une même invasion avec des mercenaires différents. Il s'agit d'une invasion impérialiste installant des djihadistes au pouvoir pour protéger les plus grosses entreprises françaises.

LE 17 JANVIER LES TERRORISTES DU MNLA ET ANSAR DINE COMMENCENT A ENVAHIR LE MALI

Le MNLA avec à sa tête Assalat Ag Habi et les salafistes du groupe d'Ansar Dine attaquent le 17 janvier 2012 l'armée malienne à Melaka.
Les djihadistes prennent d’assaut la caserne de la ville. L'armée malienne résiste.
Melaka sera complétement entre les mains des djihadistes fin janvier.


Le 18 janvier 2012 ces mêmes terroristes attaquent Aguel'hoc et Tessalit près de la frontière algérienne. Aguelhoc est situé en zone désertique au nord de la vallée du Tilemsi, dans l’Adrar des Ifoghas, sur la route transsaharienne, à 430 km au nord de Gao, 80 km au sud de Tessalit et à 150 km au sud de la frontière algérienne.


Le 20 janvier, des militaires maliens réussissent à s'accaparer le téléphone satellitaire des terroristes. Et le 20 janvier le Capitaine Sekou Traoré jeune leader étudiant décroche le téléphone s'attendant à recevoir des informations sur l'ennemi...
Mais ... il tombe sur son Président Amadou Toumani Touré (ATT).
Le Président Malien Franceàfric sait donc que le capitaine Sékou Traoré connait la vérité sur son alliance objective avec les terroristes. C'est à ce moment que commence la répression sanglante contre ceux qui avaient les preuves de la traîtrise du Président ATT auprès de la population malienne.


Puis le 24 janvier ce sont 153 militaires du camp d'Aguelhoc qui sont égorgés ou tués par balle dans la tête par le MNLA et Ansardine.


Le 25 janvier, la totalité de la ville est prise par Ansar Dine (Al Qaeda au Maghreb islamique) et le MNLA. La charia est mise en place. Les crimes qui s'abattent contre la population malienne sont nombreux comme par exemple ce couple mis à mort par lapidation parce qu'ils avaient conçus des enfants hors mariage !
La colère des femmes de Kati s'explique par l'alliance du Président ATT avec les djihadistes mis en lumière lors du massacre d'Aguel-Hoc et de l'assassinat du héros de la résistance malienne, Sékou Traoré.
La colère gronde dans la population malienne. Les femmes de Kati seront les premières à se révolter."


Iyad Ag Ghali n'a cessé depuis 2012 d'être protégé par la France. Tellement bien protégé que quand il a été menacé par l'opération Serval - censée officiellement combattre le terrorisme -, la France l'envoie se planquer au Burkina Faso chez Blaise Compaoré leur meilleur ami africain... planqué à 4,5 km du palais présidentiel Kossyam, dans la meilleure suite de luxe au 11° étage de l’hôtel Laïco.

Quand il s'est agi de protéger Iyad Ag Ghali pendant l'opération Serval, la France était là.... Elle l'a protégé chez son grand ami Compaoré au Burkina Faso au 11° étage de l'hôtel Laïco jusque fin janvier 2013 puis dans une villa de luxe.


Mondafrique se demande si l'impunité 'Iad Ag Ghali ne s'expliquerait-elle pas par une volonté de la France de donner plus de pouvoir à cet homme.

"La liberté dont il dispose dans ses déplacements au nord Mali interrogent en tout cas la position de Paris dont les militaires sont toujours sur place. La France, qui lance sa nouvelle opération de lutte contre le terrorisme dans le Sahel, Barkhane, et dont l’alliance avec le Mnla au Mali n’a donné que peu de résultats souhaite-t-elle remettre Iyad Ag Ghali dans le jeu ? (extrait de mon article)

Le terroriste Iyad Ag Ghali leader d'Ansardine #JNIM protégé par l'Algérie et la France qui s'accusent mutuellement


Les médias français au service de la Franceàfric et les médias américains au service de l'USAfric ne désignent jamais les terroristes ami de la France pour ce qu'ils sont des terroristes criminels.
Un chef jihadiste qui tuent des innocents au nom d'un faux islam ils appellent cela un "ex chef touareg malien".
Trois importants chefs djihadistes au Mali, l’ex-chef rebelle touareg malien Iyad Ag Ghali, l’Algérien Djamel Okacha et le prédicateur radical peul Amadou Koufa apparaissent dans une vidéo diffusée jeudi soir 8 novembre, appelant à « poursuivre le djihad »" Le Monde
Trois importants chefs djihadistes au Mali, l'ex-chef rebelle touareg malien Iyad Ag Ghaly, l'Algérien Djamel Okacha et le prédicateur radical peul Amadou Koufa, apparaissent dans une vidéo diffusée jeudi soir, appelant à "poursuivre le djihad".VOA


Les trois chefs terroristes de la vidéo s'adressent d'abord aux Africains qui vivent sur le pré-carré français. Ce n'est bien évidemment pas un hasard !
Amadou Koufa, qui dit parler « au nom d’Ag Ghali », invite les musulmans en général à « faire le djihad », avant de s’adresser en particulier aux membres de l’ethnie peule. « Mes frères peuls, où que vous soyez, souvenez-vous de ces mots : venez soutenir votre religion, car l’islam et les musulmans sont combattus, dévastés et brûlés », selon ses propos sous-titrés en anglais dans la vidéo. « J’en appelle aux Peuls où qu’ils se trouvent : au Sénégal, au Mali, au Niger, en Côte d’Ivoire, au Burkina Faso, au Nigeria, au Ghana et au Cameroun »,
Ils obéissent au projet de la Franceàfric qui consisteà créer des terroristes en aspirant tous les potentiels révolutionnaires : la même méthode que Hitler qui faisait simulacre de luttant anti-bancocratie pour aspirer les communistes allemands.
Ce qui ressort de cette vidéo c'est un retour à la méthode 1993 de la DGSE : la guerre révolutionnaire du colonel Lacheroy par instrumentalisation de l'ethnicisme : l'appel au Peuls est totalement contraire au veritable islam de l'Histoire. Il s'agit ici de recommencer avec les Peuls la victimisation des Hutus de 1993 par les sbires de Mitterrand et Balladur pour ethniciser les résistances de la population contre l'impérialisme Bolloré-AREVA-ORANO. La même technique utilisée en Côte d'Ivoire en 1993 avec Konan-Bédié et son "ivoirité" raciste !

Ces médias au service de la Franceàfric et des USAfric participent au complot terroriste qui vise à terroriser les populations africaines pour empêcher une révolution sankariste humanocrate.
Les victimes sont les Maliens et d'une façon générale les esclaves immobiliers de Bolloré and co qui en plus de subir des salaires esclavagistes (mortalité infantile la plus importante au monde !) subissent la terreur terroriste des milices Franceàfric USAfric camouflées en jihadistes !

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COMPLEMENT

ARTICLE DU MONDE


Au Mali, trois importants chefs djihadistes appellent à « poursuivre le djihad »

Dans une vidéo, Iyad Ag Ghali, Djamel Okacha et Amadou Koufa s’adressent en particulier aux Peuls d’Afrique de l’Ouest.
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Le Touareg Iyad Ag Ghali, chef du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), à Kidal, au Mali, en août 2012.

Trois importants chefs djihadistes au Mali, l’ex-chef rebelle touareg malien Iyad Ag Ghali, l’Algérien Djamel Okacha et le prédicateur radical peul Amadou Koufa apparaissent dans une vidéo diffusée jeudi soir 8 novembre, appelant à « poursuivre le djihad ». Leur message est adressé en particulier aux Peuls d’Afrique de l’Ouest.

Portant un turban noir sur la tête, Amadou Koufa, dont le groupe est apparu il y a trois ans dans le centre du Mali, est le seul à s’exprimer, en langue peule. Il est entouré du Touareg Iyad Ag Ghali, chef du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), et de Djamel Okacha, dit Yahia Aboul Hammam, dirigeant d’Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI).
Amadou Koufa, qui dit parler « au nom d’Ag Ghali », invite les musulmans en général à « faire le djihad », avant de s’adresser en particulier aux membres de l’ethnie peule. « Mes frères peuls, où que vous soyez, souvenez-vous de ces mots : venez soutenir votre religion, car l’islam et les musulmans sont combattus, dévastés et brûlés », selon ses propos sous-titrés en anglais dans la vidéo. « J’en appelle aux Peuls où qu’ils se trouvent : au Sénégal, au Mali, au Niger, en Côte d’Ivoire, au Burkina Faso, au Nigeria, au Ghana et au Cameroun », poursuit-il, fustigeant en particulier la France.

Particulièrement recherchés

Traditionnellement, Djamel Okacha mène des opérations militaires dans la région de Tombouctou (nord-ouest), Iyad Ag Ghali dans la région de Kidal (nord-est), à la frontière entre le Mali et l’Algérie, tandis qu’Amadou Koufa est censé diriger ses troupes dans le centre du Mali. Les trois hommes, bien que particulièrement recherchés, réussissent un tour de force en apparaissant côte à côte et en affichant leur unité et leur détermination, démontrant leur connaissance du terrain et leur mobilité malgré la présence d’un important dispositif sécuritaire déployé par les autorités maliennes et par les forces internationales présentes depuis des années au Mali.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes djihadistes liés à Al-Qaida, à la faveur de la déroute de l’armée face à la rébellion à dominante touarègue, d’abord alliée à ces groupes qui l’ont ensuite évincée. Les djihadistes ont été en grande partie chassés du nord du Mali ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l’initiative de la France, d’une intervention militaire, qui se poursuit actuellement. Cependant, les violences djihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires.

ARTICLE DE VOA

Mali: trois importants chefs djihadistes apparaissent dans une vidéo






Iyad Ag Ghaly, aéroport de Kidal, dans le nord du Mali, le 7 août 2012.
Trois importants chefs djihadistes au Mali, l'ex-chef rebelle touareg malien Iyad Ag Ghaly, l'Algérien Djamel Okacha et le prédicateur radical peul Amadou Koufa, apparaissent dans une vidéo diffusée jeudi soir, appelant à "poursuivre le djihad".
Leur message est adressé en particulier aux Peuls d'Afrique de l'Ouest.
Portant un turban noir sur la tête, Amadou Koufa, dont le groupe est apparu il y a trois ans dans le centre du Mali, est le seul à s'exprimer, en langue peule.
Il est entouré du Touareg Iyad Ag Ghaly, chef du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans" (GSIM), et de Djamel Okacha, dit Yahia AboulHammam, dirigeant d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Amadou Koufa, qui dit parler "au nom d'Ag Ghaly", invite les musulmans en général à "faire le djihad", avant de s'adresser en particulier aux membres de l'ethnie peule.
"Mes frères peuls, où que vous soyez, souvenez-vous de ces mots: venez soutenir votre religion, car l'islam et les musulmans sont combattus, dévastés et brûlés", selon ses propos sous-titrés en anglais dans la vidéo.
"J'en appelle aux Peuls où qu'ils se trouvent: au Sénégal, au Mali, au Niger, en Côte d'Ivoire, au Burkina Faso, au Nigeria, au Ghana et au Cameroun", poursuit-il, fustigeant en particulier la France.
Traditionnellement, Djamel Okacha mène des opérations militaires dans la région de Tombouctou (nord-ouest), Iyad Ag Ghaly dans la région de Kidal (nord-est), à la frontière entre le Mali et l'Algérie, tandis qu'Amadou Koufa est sensé diriger ses troupes dans le centre du Mali.
Les trois hommes, bien que particulièrement recherchés, réussissent un tour de force en apparaissant côte à côte et en affichant leur unité et leur détermination, démontrant leur connaissance du terrain et leur mobilité malgré la présence d'un important dispositif sécuritaire déployé par les autorités maliennes et par les forces internationales présentes depuis des années au Mali.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes djihadistes liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l'armée face à la rébellion à dominante touareg, d'abord alliée à ces groupes qui l'ont ensuite évincée.
Les djihadistes ont été en grande partie chassés du nord du Mali ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire, qui se poursuit actuellement.
Cependant, les violences djihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre et le sud du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires.
Avec AFP

samedi 3 novembre 2018

Meurtres de Ghislaine Dupont et Claude Verlon journalistes RFI : les principaux suspects sont Ahmada Ag Bibi, Bilal Ag Achérif et Iyad Ag Ghali avec leurs complices Puga Le Drian Hollande et Sarkozy

Par Julie Amadis et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF REVACTU
03/11/2018

Est-ce que Ghislaine Dupont avait compris que l'invitation au Sénat français du leader terroriste Bilal Ag Acherif à Paris en avril 2013 était la preuve que la quasi totalité des 28 principaux chefs terroristes organisateurs des attaques de janvier 2012 du Mali allaient être recyclés pardonnés récompensés ?.

C'est ici qu'un véritable juge français reprendrait à son compte la liste établie par le procureur général du Mali Daniel Tessougué en février 2013 et intégrerait le crime du 2 novembre 2013 au sein de la longue liste des crimes terroristes commis à partir du 17 janvier 2012 à Ménaka puis du 18 janvier 2012 à Aguelhoc.(...)

Ceux qui enquêteront là dessus et sur le devenir des 28 chefs terroristes mèneront une enquête qui enverra en prison les commanditaires et protecteurs de ces terroristes : Sarkozy, Hollande, Macron, Le Drian, le général Puga, Juppé, Raincourt, Fabius, ainsi qu'un bon nombre de sénateurs et de députés. 

De vrais journalistescomprendraient que le #FootballLeaks et l'assassinat de Ghislaine Dupont et Claude Verlon sont une seule et même enquête, un seul et unique réseau criminel.
Ceux qui ont organisé le recyclage du Qatar en instrumentalisant le PSG sont les mêmes qui ont oganisé le recyclage des 28 chefs terroristes du Mali, les chefs des miliciens terroristes qui ont exécuté Ghislaine Dupont et Claude Verlon
Ceux deux journalistes sont peut-être morts d'avoir découvert les ficelles allant des groupes terroristes jusqu'à l'Elysée ! Ficelles tenues au Mali par trois leaders criminels.

TROIS CRIMINELS, TROIS CHEFS TERRORISTES
RECRUTES PAR SARKOZY RECYCLES PAR HOLLANDE


Quand des journalistes sont assassinés c'est à chaque fois parce qu'ils ont découvert une vérité qui dérange des criminels.
Un véritable juge enquêtant sur ce crime se posera la question
"Quelles sont les trois principales vérités dérangeant les criminels terroristes et leurs maitres ?".

AHMADA AG BIBI

La première piste est évidemment la biographie sanglante du N°3 djihadiste Ahmada Ag Bibi depuis son recrutement par AREVA; la DGSE Gadoullet Sarkozy et Puga le 16 décembre 2010 jusqu'à l'organisation de la charia en particulier dans son fief de Kidal en septembre 2012.
Si Ghislaine Dupont enquêtait sur ce scandale sa mort avec Claude Verlon a permis deux mois après le recyclage de ce criminel Ahmada Ag Bibi comme élu député socialiste RPM.

BILAL AG ACHERIF

Mais avant même le recyclage du chef djihadiste Ahmada Ag Bibi, Hollande et Sarkozy avaient déjà procédé dès le mois d'avril au recyclage de ses complices criminels MNLA.
Est-ce que Ghislaine Dupont avait compris que l'invitation au Sénat français du leader terroriste Bilal Ag Acherif à Paris en avril 2013 était la preuve que la quasi totalité des 28 principaux chefs terroristes organisateurs des attaques de janvier 2012 du Mali allaient être recyclés pardonnés récompensés ?.

C'est ici qu'un véritable juge français reprendrait à son compte la liste établie par le procureur général du Mali Daniel Tessougué en février 2013 et intégrerait le crime du 2 novembre 2013 au sein de la longue liste des crimes terroristes commis à partir du 17 janvier 2012 à Ménaka puis du 18 janvier 2012 à Aguelhoc.

Ce juge - comme sans doute Ghislaine Dupont avant lui - s'étonnerait de constater qu'un des 28 chefs terroristes de la liste de Tessougué alors même qu'il est recherché par INTERPOL depuis février 2013 puisse venir à Paris et être reçu avec les honneurs au Sénat français.
Ceux qui enquêteront là dessus et sur le devenir des 28 chefs terroristes mèneront une enquête qui enverra en prison les commanditaires et protecteurs de ces terroristes : Sarkozy, Hollande, Macron, Le Drian, le général Puga, Juppé, Raincourt, Fabius, ainsi qu'un bon nombre de sénateurs et de députés.

IYAD AG GHALI


La 3ème piste criminelle vers les véritables commanditaires du meurtre de Ghislaine Dupont et Claude Verlon mène évidemment au numéro 1 des chefs terroristes de la liste du Procureur Tessougué Iyad Ag Ghali .
Le leader Ansardine-JNIM GSIM Iyad Ag Ghali bénéficie de tellement de protecteurs au sein des services secrets impérialistes que les probabilités que ceux ci le laissent arriver vivant dans un tribunal sont très proches du zéro absolu.
Informateur pour l'ambassade US à Bamako en 2007, "Unser Mann" "notre homme à Bamako" pour le BND allemand, dénoncé régulièrement comme agent du DRS algérien dont il profitait de la protection quand il franchissait la frontière du Mali pour se reposer dans sa villa au sud de l'Algérie, Iyad Ag Ghali 4 jours avant l'assassinat de Ghislaine Dupont et Claude Verlon a été récompensé de 20Md'€ par Hollande. Ce complice et véritable chef des deux précédents a non seulement été blanchi de ses crimes par Hollande et le nouveau président IBK mais il a reçu la récompense de ses crimes et suffisamment de millions d'euros (20M et peut être 30M) pour pouvoir recruter de nouveaux djihadistes ribanazis pour pourrir l'Afrique.


Contrairement aux bobards de France 2, le prétendu "intermédiaire" qu'il nous présente est en réalité le n°3 des jihadistes du Mali.
Qu'ils aient travaillé pour Gadoullet et AREVA et donc la DGSE n'est que la preuve que AREVA et DGSE sont les commanditaires de l'attaque terroriste du Mali.
Cependant, la vidéo de France 2 bien que réalisée par des journalistes au service de la Franceàfric puisque faisant la propagande pour l'armée française montre l'implication très probable de la DGSE dans l’enlèvement et le meurtre de la journaliste et son caméraman




PREMIÈRE PISTE : LA JOURNALISTE GHISLAINE DUPONT ENQUÊTAIT-ELLE SUR AHMADA AG BIBI LE TERRORISTE EMBAUCHE PAR AREVA ET LA DGSE POUR PERMETTRE DE FINANCER LES DJIHADISTES AVEC POUR COUVERTURE LES OTAGES D AIRLIT ?

Les terroristes ont été envoyé par Sarkozy attaquer le Mali.

Sarkozy  a recruté des combattants terroristes parmi les militaires au service de Kadhadi pour attaquer le Mali.

Hama Ag Mahmoud, qui avait témoigné en 2014 comme Sarkozy les avait recruté et leur avait "donné l'Azawad"
- La France aurait donc poussé le MNLA à occuper les villes du Nord du Mali ?


- Oui tout à fait. La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. Ensuite de bloquer le recrutement des libyens dans l’Azawad et dans l’Aïr au Niger.(Hama Ag Mahmoud terroriste chef MNLA)
"La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad"

Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de politique. Elle a mis tout son dispositif diplomatique contre le MNLA. Alors conclusion, l’objectif de la France était tout simplement d’affaiblir le gouvernement malien et je peux vous assurer que ce n’était pas pour donner raison au MNLA. (Malijet)


Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT



Ces combattants vont servir à Sarkozy pour mener sa guerre impérialiste contre le Mali. L'arsenal militaire de Kadhafi va alors être à la disposition de ces mêmes djihadistes contre le Mali. Les militaires au service de Kadhafi l'ont trahi pour la France comme Mohamed Ag Najem, ex colonel de Kadhafi.

Mohamed Ag Najem, né à la fin des années 1950 dans l'Adrar des Ifoghas, au Mali1, est le chef militaire du Mouvement national de libération de l'Azawad. (...) Rejoint par plusieurs officiers maliens déserteurs, il prit la tête du MNLA et lança des attaques sur Ménaka, Aguel'hoc et Tessalit les 17 et 18 janvier 20122.
Il est considéré comme un des leaders de la nouvelle rébellion touarègue et l'ennemi public numéro un au Mali1.
Les 17 et 21 mai 2014, il commande les forces du MNLA lors des deuxième et troisième bataille de Kidal qui voient la victoire des forces rebelles contre l'armée malienne3.
Du 26 au 28 octobre, les secrétaires-généraux et officiers du MNLA, du HCUA et du MAA se réunissent à Anéfis et le 29 ils annoncent la mise en place d'une coordination militaire regroupant les forces militaires des trois mouvements. Elle se compose de dix officiers et Mohamed Ag Najem en prend le commandement4,5.


Baba Ahmed et Christophe Boisbouvier détaillent dans Jeune Afrique les moyens que détiennent les djihadistes qui font face à l'armée malienne :
"Le MNLA, lui, a pris ses quartiers dans les collines autour de Zakake, au nord de Kidal, et revendique un millier d’éléments. Il y a là d’anciens soldats de l’armée libyenne revenus au pays et emmenés par Mohamed Ag Najem, ex-colonel de Kadhafi ; ils seraient un peu moins de 400. Dans le nord du Mali, ils ont retrouvé les hommes d’Ag Bahanga. Leurs armes sont des fusils d’assaut, des missiles (sol-sol et sol-air), des lance-roquettes multiples BM-21 (« orgues de Saline ») et des mortiers, tout droit venus des arsenaux libyens. « Les rebelles, fait-on remarquer à Bamako, sont presque mieux équipés que nos soldats. Pas étonnant qu’il y ait des désertions. »" (Jeune Afrique)" IpEaVaEaFaF
Hollande a conservé le même chef d'Etat major que Sarkozy, celui qui avait recruté les djihadistes le général Puga pour poursuivre la même politique.

Hollande va envoyer son armée au Mali faisant croire que l'objectif est de combattre les terroristes.
Mais en réalité il les finance en sous main.

Ahmada Ag Bibi est l'homme recruté par AREVA comme prétendu intermédiaire pour maquiller un financement par la France des terroristes par le biais des otages.

Il est recruté dès 2010. Dans une interview de RFI qui l’interroge comme si il était un citoyen ordinaire alors qu'il est un terroriste ayant du sang sur les mains il avoue avoir été recruté dès 2010.
Ce que confirme l'ex colonel DGSE Gadoullet qui fut accueilli par le terroriste le 16 décembre 2010 à Bamako.
En revanche, j’ai collaboré exclusivement avec Jean-Marc Gadoullet dans les négociations pour la libération des sept otages d’Areva et de Vinci, depuis leur enlèvement en décembre 2010 jusqu’à la fin. Ahmada Ag Bibi sur RFI
20 Millions d'euros leur sont remis ! Une somme gigantesque leur permettant de financer de nouveaux combattants djihadistes !

20 M d'€uros : Hollande et Macron ont financé l'attaque Ansardine JNIM du QG G5 Sahel ! Impunité depuis 2013 pour le jihadiste Iyad Ag Ghali pantin DGSE-DRS-CIA-BND

Mali-Nigeria: Le salaire de 10000 terroristes islamofascistes pour 3 ans : la somme payée par Hollande à Iyad Ag Ghali, le leader des assassins Ansar Eddine du 24 janvier 2012

Ce que Ag Bibi n'avoue pas c'est que son voyage parmi AQMI lui a aussi permis de recruter les futurs cadres d'Ansardine.
La vérité était connue de tous les résistants..... à tel point point qu'elle apparaissait même sur le site RFI

"Hollande autorise ses services à travers les Fonds destinés aux services de renseignements, et ses entreprises dont AREVA à arroser Aqmi, Ansar Dine ou les organisations terroristes" (sic cité sur RFI)

Ahmada Ag bibi était considéré comme la voix de Iyad Ag Ghali, leader du groupe Ansardine dont se revendiquent les commanditaires de  l’attentat de Bamako contre le G5Sahel.
Ahmada Ag Bibi faisait partie de la liste des terroristes les plus dangereux de la liste du Procureur.
"Le vendredi 8 février 2013, le Procureur Général près la Cour d’Appel de Bamako, Daniel Amagoin Tessougué, à travers un communiqué lu à la télévision nationale, a annoncé avoir lancé des mandats d’arrêt contre 28 personnes du Mnla et des groupes islamistes armés Ansar Dine, Aqmi et Mujao. Il leur est reproché entre autres chefs d’accusation le terrorisme et la sédition.
Le parquet de Bamako en prenant cette décision avait même souligné qu’il ne va pas s’arrêter en si bon chemin. Car, dit-il, ils sont très nombreux à être poursuivis dans les prochains jours et mois.
Des poursuites avaient été engagées ce vendredi contre plusieurs responsables des mouvements criminels MNLA (Mouvement national de libération de l’Azawad, rébellion touareg), Ansar Dine (islamiste), Mujao (Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest), des narcotrafiquants. Ils faisaient tous l’objet de mandats d’arrêt à exécuter tant sur le plan national qu’international. C’est en tout cas ce qui est ressorti du communiqué du Procureur Général près la Cour d’Appel de Bamako, Daniel A. Tessougué.
Les faits qui leur sont reprochés sont, entre autres: terrorisme, sédition, crimes portant atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat, à l’intégrité du territoire national par la guerre, l’emploi illégal de la force armée, la dévastation et le pillage publics, crimes et délits à caractère racial, régionaliste et religieux, trafic international de drogue.
Il s’agit en particulier de :
Iyad Ag Ghaly (chef d’Ansar Dine), Algabass Ag Intallah.
Hamada Ag Bibi, Cheick Ag Haoussa, Sultan Ould Badi, Hamada Ag Hama alias Abdelkrim El Tarki, Oumar Ould Hamaha, Sidi Mohamed Ould Bounama dit Senda Ould Bounama (Aqmi).
Aussi, Chérif Ould Attaher dit Chérif Ould Tahar (Mujao, et aussi narcotrafiquant), Abdrahamane Ould El Amr alias Hamed El Tlemci, Aliou Mahamane Touré.
Egalement, il y a Bilal Ag Acherif (Mnla), Mohamed Djery, Mohamed Ag Najim, Hama Ag Mossa, Deti Ag Sidimou, Ibrahim Ag Mohamed Assaleh, Iglass Ag Hussein, Baye Ag Diknane, Abdallah Ag El Bakaye, Mossa Ag Assarid, Mahdi Ag Bohada.
Enfin, Mohamed Ould Hamed Beyan dit Mohamed Oudi, Dina Ould Daya, Mohamed Ould Sidati, Baba Ould Cheick, Mohamed Ould Wenat et Adinady Ag Abdallah.
Notons qu’Algabass Ag Intallah, depuis le 24 janvier 2013, dirige le Mouvement islamique de l’Azawad (MIA).
M. Tessougué avait indiqué, par ailleurs, que la Cour pénale internationale (CPI) a déjà été saisie de crimes contre l’humanité, des crimes de guerre. Soulignons que Mme Bensouda, Procureure de la CPI avait annoncé le 16 janvier avoir ouvert une enquête sur des crimes de guerre présumés commis par divers groupes armés depuis janvier 2012 au Mali." Malijet
Il est l'organisateur de la charia à Kidal.
"Ansar Eddine, l’un des groupes islamistes armés qui occupent actuellement le Nord du Mali, a annoncé mercredi qu’il renonçait à vouloir imposer la charia dans tout le pays, mais a exigé de pouvoir l’appliquer dans son seul fief de Kidal.
« Nous renonçons à l’application de la charia sur toute l’étendue du territoire malien, sauf dans notre région de Kidal où la charia sera appliquée en tenant compte de nos réalités », a déclaré Hamada Ag Bibi, l’un des membres d’une délégation d’Ansar Eddine présente à Ouagadougou, sans plus de précision." Jeune Afrique

"Coïncidence" révélatrice c'est à Kidal dans le fief d'Ahmada Ag Bibi que Ghislaine Dupont et Claude Verlon ont été tués.
"Le 2 novembre 2013, nos confrères de RFI Ghislaine Dupont, journaliste, et Claude Verlon, technicien de reportage, en mission à Kidal au nord du Mali étaient enlevés et tués par leurs ravisseurs." RFI


  Ahmada Ag Bibi va devenir sous Hollande deux mois après le meurtre de Ghislaine Dupont député socialiste RPM, le même parti que François Hollande !
 "Ahmada Ag Bibi, notable touareg de la région de Kidal et ancien cadre d’Ansar Eddine, est aujourd’hui député Rassemblement pour le Mali (RPM, majorité)" Jeune Afrique

 On comprend l'incompréhension d'Appoline Verlon, la fille de Claude Verlon. Elle ne connait certainement pas ce que la presse française cache ! Elle ne comprend donc pas qu'avec autant de militaires français et alors que son père était constamment entouré de militaires français il est pu être tué :

"Pourquoi les a-t-on enlevés, dans quel but ? On venait de libérer les otages d'Arlit. Ça me paraît insensé de me dire qu'ils étaient à Kidal, dans le Nord-Mali, que c'est la Minusma qui les avait emmenés, que l'armée française était sur place. C'est d'ailleurs ce que j'ai immédiatement dit au président François Hollande : pour moi, ce n'était pas une mission dangereuse. J'étais beaucoup plus inquiète quand il partait en Afghanistan ou couvrir l'actualité dans des pays en guerre. Au Nord-Mali, on voyait tout le temps l'armée à la télévision. Je n'imaginais pas une seconde qu'il puisse lui arriver un truc pareil. On peut imaginer plein de choses. Peut-être qu'ils ont vu, entendu des choses. Je ne sais pas où ça bloque, si c'est en France, au Mali, au sein de l'armée ou des renseignements. J'ai besoin de rester persuadée que certaines personnes savent précisément ce qui s'est passé, mais aujourd'hui les langues sont liées. On nous dit qu'on a levé le secret-défense mais en fait la plupart des documents classés secret-défense qui ont été transmis aux juges sont noircis. On nous donne des éléments, mais une partie seulement est lisible." La fille de Claude Verlon France Info

DEUXIÈME PISTE :  GHISLAINE DUPONT AVAIT-ELLE COMPRIS QUE L'INVITATION AU SÉNAT FRANÇAIS DU LEADER TERRORISTE BILAL AG ACHERIF A PARIS  ÉTAIENT LA PREUVE QUE LES 28 CHEFS TERRORISTES ALLAIENT ÊTRE RECYCLES PARDONNES RÉCOMPENSES ?

Bilal Ag Acherif est un des principaux chefs terroristes du Mali. Il a été reçu par des diplomates français le 23 novembre 2012.

Ce descriptif propagandiste Wikipédia est factuellement avéré mais en omettant le principal.

"En mai 2012, Bilal Ag Acherif tente de rapprocher son mouvement avec Ansar Dine afin de chasser AQMI de l'Azawad3. Le MNLA et Ansar Dine signent un accord le 26 mai et annoncent leur fusion. Les deux mouvements créent le Conseil transitoire de l’État islamique de l'Azawad4. Mais 24 heures après sa signature, l'accord est rompu par les cadres du MNLA5.
Le 26 juin 2012, Bilal Ag Acherif est blessé à Gao au cours de la première bataille de Gao qui oppose les troupes du MNLA et aux djihadistes du MUJAO et d'AQMI. D'après le porte-parole du MNLA, il est alors évacué et soigné au Burkina Faso6.
Le 23 novembre 2012, il est reçu à Paris par plusieurs diplomates français" wikipédia
 Ces jours-là le leader criminel se permettait de donner des conseils à ses complices jihadistes Ansardine depuis Paris et le micro RFI de Christophe Boibouvier - un pseudo journaliste de #MédiaBarbouze

Chacun sait que Iyad Ag Ghali et Ansar Dine sont soutenus, voire équipés et financés par les islamistes d’Aqmi et du Mujao. Est-ce que demain, Iyad Ag Ghali et Ansar Dine peuvent prendre le risque de s’éloigner de leurs alliés islamistes ?
Il s’agit aujourd’hui d’une nécessité, voire même d’une urgence, pour Ansar Dine, de se démarquer de ces groupes, parce qu'Ansar Dine est censé parler aussi pour les intérêts d’une partie du peuple de l’Azawad, parce qu’ils sont issus du peuple de l’Azawad. Donc, ils doivent choisir d’être les alliés du peuple de l’Azawad et de répondre aux aspirations du peuple de l’Azawad, et non de répondre aux attentes d’un quelconque allié. Et nous avons remarqué, de manière positive, qu'Ansar Dine a commencé à aller dans ce sens, à travers une série de déclarations et d’actes qu’ils ont commencé à poser dans ce sens-là. (RFI 30/11/2012)
 Un juge honnête enquêtant sur les protections de ce criminel découvrirait stupéfait que cet assassin du 24 janvier 2012 à Aguel Hoc, invité à Paris en novembre 2012 figurera en février 2013 dans la liste des criminels MNLA qu'on citait plus haut :
Egalement, il y a Bilal Ag Acherif (Mnla), Mohamed Djery, Mohamed Ag Najim, Hama Ag Mossa, Deti Ag Sidimou, Ibrahim Ag Mohamed Assaleh, Iglass Ag Hussein, Baye Ag Diknane, Abdallah Ag El Bakaye, Mossa Ag Assarid, Mahdi Ag Bohada.

Comme si le Quai d'Orsay et Fabius avaient pu ignorer les crimes de ce leader MNLA.
Mais le pire était à venir : en avril 2013, alors qu'il était recherché par INTERPOL, Bilal Ag Achérif était au Sénat français




En finir avec le complot terroriste c'est aussi condamner à la prison ceux qui protègent ces criminels.
Et donc incarcérer ceux qui ont invité l'assassin Bilal Ag Achérif au Sénat !

RAPPORT D´INFORMATION FAIT au nom de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées (1) par le groupe de travail « Sahel », en vue du débat et du vote sur l’autorisation de prolongation de l’intervention des forces armées au Mali (article 35 de la Constitution), Par MM. Jean-Pierre CHEVÈNEMENT et Gérard LARCHER, co-présidents, MM Jacques BERTHOU, Alain GOURNAC, Joël GUERRIAU et Rachel MAZUIR, (source en ligne)

 Ce sont ces sénateurs criminels qui ont osé bafouer l'autorité du procureur général du Mali et ont invité un des assassins dont il avait demandé l'arrestation.
 Mais cette protection s'est poursuivie pendant des années :

Il est tellement protégé qu'il a aussi été invité à l'ONU en janvier 2018 avec son complice Algabass Ag Intalla
Supposé être sous le coup d’un mandat d’arrêt international, Algabass Ag Intalla, le chef du Haut conseil de l’unité de l’Azawad (HCUA) est pourtant en déplacement aux USA. Des interrogations tout de même.
Selon plusieurs médias, une délégation des ex-rebelles de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) séjourne aux Etats-Unis. Dirigée par Algabass Ag Intalla, la délégation comprend également Bilal Ag Cherif et d’autres responsables des groupes armés.
Dans l’agenda de la délégation, il est prévu une rencontre avec les membres du Conseil de sécurité de l’ONU afin de faire part de leurs observations sur l’avancée du processus de paix. Ce déplacement au pays de l’Oncle Sam n’est pas le premier pour les ex-rebelles. Maliweb
La probabilité est grande que Ghislaine Dupont ait été scandalisée de voir ce criminel obtenir tant de soutien par les autorités françaises !

TROISIEME PISTE LA JOURNALISTE ENQUETAIT-ELLE SUR LE CHEF DE TOUS LES TERRORISTES IYAD AG GHALI ?


Iyad Ag Ghali  c'est le tueur du capitaine Sékou Traoré et des 82 militaires maliens le 24 janvier 2012.
Iyad Ag Ghali est un criminel sanguinaire ayant appartenu à diverses organisations terroristes dont la dernière est JNIM fusionnant son groupe Ansardine  et ses ex-alliés de 2012 AlQaeda AQMI (qui lui avaient infligé une raclée en 2012 le contraignant à rejoindre l'hôtel Laico de Ouagadougou sous la protection de son chef régional Blaise Compaoré.... hôtel situé à 4,5 km du palais présidentiel Kossyam).


"Ansar Eddine, Al Mourabitoune et la katiba Macina se regroupent sous la bannière
les 82 militaires maliens tués par Iyad Ag Ghali
d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), selon un communiqué diffusé ce 2 mars par les organisations jihadistes. Leur chef désigné ? Un certain Iyad Ag Ghali." Jeune Afrique

En octobre 2013, 22 mois après ses crimes, 10 mois après la prétendue invasion anti terroristes du Mali il reçut plus de 20 millions de Hollande et l'impunité.




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Iyad Ag Ghali est le chef de tous les jihadistes. Cet article de décembre 2017 montrait le nombre de pistes d'investigation qu'auraient du étudier tous les juges anti-terroristes comme tous les journalistes honnêtes.
Ghislaine Dupont et Claude Verlon sont peut-être morts d'avoir découvert des preuves directes de l'implication criminellle de la DGSE et surtout les noms des agents français opérant au sein de ces groupes terroristes.
Comme ceux qui accompagnaient les assassins de Sékou Traoré pour aller récupérer l'ordinateur sur lequel était enregistrée la voix du président ATT téléphonant à ses complices jihadistes le 20 janvier 2012



Le terroriste Iyad Ag Ghali leader d'Ansardine #JNIM protégé par l'Algérie et la France qui s'accusent mutuellement


Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 19/12/2017

"C’est un geste de courtoisie diplomatique et militaire dont on se souviendra longtemps au ministère français de la défense. En 2014, alors qu’elle avait Iyad Ag-Ghali, chef du mouvement djihadiste malien Ansar Eddine à portée de fusil, la France a choisi de prendre l’avis d’Alger avant d’agir, plutôt que de le « neutraliser » ou de le capturer vivant.
Pas si peu fiers de cette marque de considération, les Algériens envoient à Paris un message aussi clair que l’eau de roche : « Ne vous occupez pas d’Iyad. Nous en faisons notre affaire. »

 "Tout le monde sait aujourd’hui où se trouve Iyad Ag Ghali, le charismatique leader du mouvement islamiste Ansar Dine officiellement désigné comme terroriste par le département d’Etat américain. Réfugié dans le sud algérien, notamment vers la ville de Tinzawaten où il possèderait une maison, l’homme navigue régulièrement à travers les dunes jusqu’à la ville d’Abeybara dont il est originaire au Mali. Tout le monde sait où il est, oui, mais rien ne se passe.





Iyad Ag Ghali  c'est le tueur du capitaine Sékou Traoré et des 82 militaires maliens le 24 janvier 2012.
Iyad Ag Ghali est un criminel sanguinaire ayant appartenu à diverses organisations terroristes dont la dernière est JNIM fusionnant son groupe Ansardine  et ses ex-alliés de 2012 AlQaeda AQMI (qui lui avaient infligé une raclée en 2012 le contraignant à rejoindre l'hôtel Laico de Ouagadougou sous la protection de son chef régional Blaise Compaoré.... hôtel situé à 4,5 km du palais présidentiel Kossyam).

"Ansar Eddine, Al Mourabitoune et la katiba Macina se regroupent sous la bannière
les 82 militaires maliens tués par Iyad Ag Ghali
d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), selon un communiqué diffusé ce 2 mars par les organisations jihadistes. Leur chef désigné ? Un certain Iyad Ag Ghali." Jeune Afrique

En octobre 2013, 22 mois après ses crimes, 10 mois après la prétendue invasion anti terroristes du Mali il reçut plus de 20 millions de Hollande et l'impunité.

Capitaine Sékou Traoré

L'islamofasciste égorgeur du 24 janvier 2012 protégé et financé par Hollande ! Le psychopathe pantin ribafasciste du Qatar Iyad Ag Ghali a touché 20 millions et l'impunité par le président voyou

C'est un secret de polichinelle en Afrique....
Iyad Ag Ghali est le protégé de l'Algérie et de la France...
Ce leader d'Ansar Dine groupe terroriste criminel  peut faire ce qu'il veut au Mali...
Il sait qu'on ne viendra pas porter atteinte à son action terroriste...

Et cela fait presque 6 ans que dure cette farce criminelle....


Pourtant Macron joue une pièce de théâtre dans laquelle il serait un chef d'Etat luttant contre le terrorisme. Lui qui a été le ministre de Hollande qui a réinstallé les terroristes au Mali et qui a gardé Jean -Yves Le Drian en le faisant passer de ministre de la Défense sous Hollande à ministre des Affaires Etrangères, a le culot d'accuser l'Algérie de protéger Iyad Ag Ghali.

"Durant sa visite à Alger, le 6 décembre, Emmanuel Macron a abordé le cas d'Iyad Ag Ghali avec les dirigeants algériens, en particulier lors de son entretien avec Ahmed Gaid Salah, le vice-ministre de la Défense nationale, et ses collaborateurs. Ces echanges portant sur le chef du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), qui chapeaute les principaux groupes jihadistes au Mali, ont été tendus. Les renseignements français ont en effet acquis la certitude qu'Ag Ghali et ses proches bénéficient du soutien, voire de la protection, des services de sécurité algériens. Ce qu'Alger dément catégoriquement. " Jeune Afrique N° 2971-72-73.
Nouvelle qui est un secret de Polichinelle.
On sait même par un courriel reçu par Hillary Clinton que les services secrets algériens ont passé accord avec AQMI en leur demandant d'attaquer Maroc et Mali (source DNA)
En réponse aux propos hypocrites de Macron, un responsable algérien possédant un sens de l'humour a répondu :
"Si les Français le voulaient vraiment, ils le mettraient hors d'état de nuire : ils en ont tous les moyens", souligne un responsable algérien. Jeune Afrique N° 2971-72-73.
Soulignant par là que Macron n'a pas besoin du feu vert des Algériens et donc du DRS pour en finir avec leur protégé !
Eh oui...

Bonnet blanc Blanc Bonnet...

La France comme l'Algérie protègent Iyad Ag Ghali.
Ils s'arrangent même entre eux pour lui trouver la meilleure protection. La France a pour allié Iyad Ag Ghali contre les révolutionnaires maliens...
Elle le protège mais ne veut pas que ça se sache de trop....
Alors quand ses hommes se retrouvent prêts à le "cueillir", l’Élysée est bien embêté... Hollande ne veut pas passer pour "ami des terroristes" aux yeux de tous... Alors la France prévient l'Algérie - ami d'Iyad Ag Ghali - pour  protéger le terroriste sans que ça ne se voit de trop...

"C’est un geste de courtoisie diplomatique et militaire dont on se souviendra longtemps au ministère français de la défense. En 2014, alors qu’elle avait Iyad Ag-Ghali, chef du mouvement djihadiste malien Ansar Eddine à portée de fusil, la France a choisi de prendre l’avis d’Alger avant d’agir, plutôt que de le « neutraliser » ou de le capturer vivant.
Pas si peu fiers de cette marque de considération, les Algériens envoient à Paris un message aussi clair que l’eau de roche : « Ne vous occupez pas d’Iyad. Nous en faisons notre affaire. »
On connaît bien la suite de cette consultation franco-algérienne : Iyad Ag-Ghali en a tiré profit pour disparaître des écrans radar. Mieux, le chef djihadiste a reconstitué Ansar Eddine, sorti, comme tous les autres mouvements djihadistes, du Sahel, zone déstabilisée par l’opération militaire française « Serval » de janvier 2013." Le Monde
Lire l'article complet :
L'Algérie en a fait un allié depuis longtemps, depuis 1991 où Iyad Ag Ghali était l'"homme du DRS" au Mali.

"Lorsque la diplomatie algérienne impose sa médiation dans le conflit malien et organise des négociations à Tamanrasset en 1991, les hommes du DRS choisissent de miser sur le jeune et ambitieux leader. Interlocuteur du gouvernement malien lors de ces pourparlers, Iyad accepte de signer l’accord de paix de Tamanrasset alors qu’aucun des objectifs de la rébellion n’est atteint. Un acte qui lui vaudra d’être considéré par beaucoup de maliens comme l’homme qui a ramené la paix au nord Mali, et par beaucoup de rebelles comme un traître passé sous la coupe de l’Etat. Le camps touareg se divise. Iyad, qui d’une pierre deux coups a acquis le soutien d’Alger et la confiance des autorités maliennes, fonde le Mouvement national de l’Azawad (MNA), un mouvement composé majoritairement de touaregs modérés." Mondafrique

Et il irait régulièrement rejoindre sa propriété en Algérie dans la plus grande tranquillité alors qu'officiellement il serait recherché pour ses crimes terroristes.

"Tout le monde sait aujourd’hui où se trouve Iyad Ag Ghali, le charismatique leader du mouvement islamiste Ansar Dine officiellement désigné comme terroriste par le département d’Etat américain. Réfugié dans le sud algérien, notamment vers la ville de Tinzawaten où il possèderait une maison, l’homme navigue régulièrement à travers les dunes jusqu’à la ville d’Abeybara dont il est originaire au Mali. Tout le monde sait où il est, oui, mais rien ne se passe. Et pour cause, malgré la fuite d’Iyad après l’opération Serval, celui que l’on surnomme « le lion du désert » n’a rien perdu de son influence. Ses puissants réseaux qui vont de Kidal aux redoutables services de renseignement algérien (DRS) en passant par le pouvoir de Bamako en font, plus que jamais, un homme sous protection, incontournable pour résoudre la crise malienne."" Mondafrique
Quand il s'est agi de protéger Iyad Ag Ghali pendant l'opération Serval, la France était là.... Elle l'a protégé chez son grand ami Compaoré au Burkina Faso au 11° étage de l'hôtel Laïco jusque fin janvier 2013 puis dans une villa de luxe.


Mondafrique se demande si l'impunité 'Iad Ag Ghali ne s'expliquerait-elle pas par une volonté de la France de donner plus de pouvoir à cet homme.

"La liberté dont il dispose dans ses déplacements au nord Mali interrogent en tout cas la position de Paris dont les militaires sont toujours sur place. La France, qui lance sa nouvelle opération de lutte contre le terrorisme dans le Sahel, Barkhane, et dont l’alliance avec le Mnla au Mali n’a donné que peu de résultats souhaite-t-elle remettre Iyad Ag Ghali dans le jeu ?""
La question de Thalia Bayle, journaliste de Mondafrique est d'autant plus pertinente que la France de Hollande (Macron y été ministre de l'économie) a installé au pouvoir Nina Walett Intalou chef MNLA comme ministre du tourisme et Ahmada Ag Bibi porte parole d'Iyad Ag Ghali comme député appartenant à l'Internationale Socialiste


CONCLUSION 2018

L'an prochain, tous les hypocrites de RFI participeront à de nouvelles commémorations du crime du 2 novembre
Et, le jour même, ils continueront la propagande des chefs terroristes Sarkozy Hollande Le Drian qui ont recruté les assassins




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COMMENT RFI CAMOUFLE LES NOMS DES CRIMINELS MISSIONNES PAR SARKOZY PROTEGES PAR HOLLANDE LE DRIAN
LIRE LEUR ARTICLE EN LE COMPARANT AVEC LE NÔTRE

Le 2 novembre 2013, nos confrères de RFI Ghislaine Dupont, journaliste, et Claude Verlon, technicien de reportage, en mission à Kidal au nord du Mali étaient enlevés et tués par leurs ravisseurs. Cinq ans après, la lumière n'a toujours pas été faite sur les circonstances précises de leur assassinat et sur le mobile de leur enlèvement. Retour sur les développements de ces derniers mois.
Deux enquêtes sont ouvertes : l’une au Mali où s'est produit le drame, l'autre en France. Elle est menée par le juge Jean-Marc Herbaut.
Le dernier témoin a été entendu à Paris il y a tout juste un mois, signe que l'enquête se poursuit bien. Mais l'instruction progresse lentement. « Cela en est même déroutant », confie un des avocats qui salue cependant comme tous ses confrères le déplacement du juge Herbaut à Bamako début février.

Le magistrat français y a rencontré pour la première fois son homologue malien avec lequel il dit avoir travaillé jour et nuit pendant plusieurs jours. Ce déplacement a permis au juge antiterroriste d'obtenir une partie des fadettes qu'il réclamait, mais ces relevés des téléphones trouvés sur les lieux du drame n'ont rien apporté de significatif.
Même déception du côté de l'analyse de l'ordinateur de Ghislaine Dupont. Elle ne confirme pas l'intrusion informatique suspecte révélée par un reportage diffusé sur France 2 il y a un an et demi. Et surtout, elle ne permet pas d'avancer sur le mobile de l'enlèvement de nos confrères.
Cinq ans après, les incohérences et les questions essentielles demeurent, notamment sur un lien éventuel avec la libération des otages d'Arlit intervenue quatre jours plus tôt. « Ce que l'on sait à ce stade ne tient pas la route », résume un avocat, toujours déterminé comme les familles à faire la lumière sur ce dossier.
Concernant les auteurs [de l'enlèvement et des assassinats, NDLR], je pense qu'il y a quand même des réponses qui sont apportées dans le dossier mais pourquoi, ça reste la question et jusqu'à maintenant on n'a pas de réponse au vu du dossier. Donc il faut que les investigations se poursuivent.
Me Valérie Courtois, avocate de Marie-Solange Poinsot, la mère de Ghislaine Dupont
01-11-2018 - Par Marie-Pierre OlphandL'enquête malienne au point mort
L'enquête côté malien est plutôt au point mort malgré la nomination d'un juge désormais chargé de l'enquête fin 2017. Malgré sa détermination, reconnaît-on au Mali, il n'a pas avancé sur le dossier. Le déplacement à Kidal pour les besoins de l'enquête n'a pas été effectué car trop dangereux (lire l'encadré). En cause aussi, le manque de moyens et le fait que la justice malienne croule sous d'autres dossiers.
D'après les informations de RFI, par ailleurs, aucun mandat d'arrêt international n'a été émis contre l'un des suspects. Problème d'état civil pour mieux les identifier, explique une source proche du dossier.
Kidal aux mains des groupes armées
Un des freins qui se posent aux enquêteurs, c'est toujours l'insécurité et la difficulté de travailler dans cette région au nord du Mali. « Malheureusement, Kidal échappe au contrôle de l'Etat malien », souligne Tiébilé Dramé, homme politique malien et ami de longue date de Ghislaine Dupont. Encore plus aujourd'hui qu'il y a cinq ans, un climat de peur et d'insécurité s'est installé et pèse sur le quotidien des habitants.
Kidal est aujourd'hui contrôlée par les groupes armés, mais « personne ne tient vraiment la ville », confie un élu, avant d'ajouter : « La localité est infiltrée de tous les côtés. » Infiltrée par les mouvements terroristes eux-mêmes secoués par des dissensions. Des rivalités internes s'illustrent notamment par une multiplication des enlèvements en vue de faire de nouvelles recrues. Plusieurs otages récalcitrants ou perçus comme des traitres ont été tués ces dernières semaines.
Sedane ag Hita, responsable de la région de Kidal pour le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), est un de ceux qui font régner la terreur, aux côtés du chef du GSIM, Iyad Ag Ghali. Le MNLA, l'ex-rébellion touarègue, se dit particulièrement visé par leurs agissements.
Il y a quelques semaines, le nouveau gouverneur en poste depuis un an, Sidi Mohamed Ag Ichrach, a lui aussi fait l'objet de menaces de mort. Peut-on mener une enquête à Kidal aujourd'hui ? « Jusqu'à présent, moi je n'ai pas reçu d'enquêteur à Kidal, ni sur cette question ni sur bien d'autres qui sont aussi à l'ordre du jour », témoigne-t-il.
« La peur est humaine. Je pense qu'il y a des gens qui se disent que, peut-être, ce n'est pas la peine de faire le déplacement à Kidal si on ne peut pas interroger les bonnes personnes ou si on ne peut pas rencontrer les personnes que l'on a envie de rencontrer. Je pense que sur la disparition de vos confrères comme sur bien d'autres, il est important d'observer une certaine prudence, pour éviter d'abord de bacler l'instruction et pour être vraiment sûrs qu'on interroge les bonnes personnes », complète-t-il.
Au quotidien, les habitants sont de plus en plus méfiants, d'autant que les opérations menées par Barkhane et leurs alliés locaux dans la zone de Ménaka ont fait refouler vers Kidal des étrangers à la région, civils fuyant les combats ou terroristes cherchant une zone de repli. Difficile de savoir qui est qui aujourd'hui dans la ville résume un habitant. RFI